DOCUMENTS et EVENEMENTS

 

 

 

 

 

 

      INSIGNE DES UNITÉS TERRITORIALE (UNITES DE DÉFENSE CIVILE)

photo Jean Yves SARDELLA

 

 

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BREVET SPORTIF

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Carte de Donneur de Sang

 


 

 

Général Marcel BIGEARD

 

 

Août 1956 Retour à Bône avec son bataillon dans les Nementchas, nouvelles missions, nouveaux accrochages avec les rebelles, nouvelles victoires.

*5 septembre 1956, faisant son footing quotidien sur les quais du port de Bône, trois arabes lui tire dessus par derrière, au bras, au ventre, et à la tête, trois jour d'hôpital seulement, retour en France, la baraka Bigeard continue


Qui se souvient d u jour ou Bigeard a été bléssé à Bone
http://www.chemin-de-memoire-parachutistes.org/t9309-attentat-contre-le-cl-bigeard-a-bone-en-1956

   







  

 1907 Importantes inondations à Bône en Algérie

http://chartonf.club.fr/lorchr20a.html

 

5 Octobre 1956 :A BÔNE, un commando FLN emprunte un taxi et mitraille les passants : 3 morts et 24 blessés.

24 Juin 1959 : BÔNE : une bande FLN est accrochée : 45 tués

http://pieds-noirs.info/req/index.php/FLN

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    

 

 

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 document Bernard Pardigon


Porte clé Bône 1.jpg (92985 octets)         Porte clé Bône 2.jpg (73547 octets)


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marcel.treels@cegetel.net

 

 
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francine.chaze@wanadoo.fr

 


 

Prise d'armes Bône fin 1961 déces d'un officier


 

Après une traversée un peu maussade et nauséeuse sur " Le Chanzy ", les renforts débarquent à Bône. En ce qui me concerne, j’apprends que je suis attendu à Kellermann, dans le secteur de GUELMA.

www.anac-fr.com/ algerie/alg_82.htm.


 

Alimentation de Bône, en Algérie avec les eaux de l’oued Bou Redine (1925). Dans les années 20, Eau et Assainissement trouve de nouveaux débouchés dans l’empire mais aussi en Égypte, en Turquie et au Venezuela

www.groupe-vinci.com/ Appli/vnc/lvrvnc.nsf/(to....


 

VOYAGE EN ALGERIE DE SA MAJESTE NAPOLEON III

par Florian PHARAON illustre par A.DARJOU

    

l'Empereur passant sur la place du Bey, à Bône

 

L'Empereur ayant fort peu de temps à consacrer à la ville de Bône, distribua séance tenante les récompenses puis se dirigea vers la ville. La jolie petite cité algérienne ne le cédait en rien aux autres villes africaines ; comme elles,' elle s'é­tait parée, et de la porte de la Marine jusque sur la place, se succédaient les arcs de triomphe élevés par la seule ini­tiative des habitants. Aux quatre coins de la place d'armes, l'une des plus coquettes de l'Algérie, s'élevaient quatre arcs de triomphe érigés par les indigènes, les Maltais, les israélites et les corailleurs. Ce dernier tirait un cachet particulier de l'industrie qu'il représentait, industrie éminemment française, car ce fut Louis de Clermont, duc de Bourbon, qui, vers 1390, amena de Provence les pre mie rs  bateaux corailleurs qui exploitèrent le lit­toral de Bône, depuis le cap de Garde jusqu'au cap Blanc. Ce serait une histoire intéressante que celle de cette Compagnie d'Afrique, qui, au milieu de vicissitudes diverses, maintint pendant plusieurs siè­cles le renom du commerce français. L'Empereur ne fit que traverser la ville, au milieu d'une affluence considérable qui ne cessait de l'acclamer par les vivats les plus chaleureux. Sa Majesté sortit de Bône par la rue de Constantine et se dirigea vers les ruines d'Hippone par le chemin de la Conduite d'eau et par le Ruisseau d'Or.

L'Empereur s'arrêta sur l'emplacement de la cité de saint Augustin, indiqué par un autel de marbre blanc érigé en 1842 par la piété de monseigneur Dupuch. pre mie r évêque d'Alger. Il y avait là un grand souvenir. C'est au milieu de ces ruines qu'avait régné par la pensée l'homme qui fut la plus grande gloire de l'Afrique, saint Augustin, dont le nom domine toute la philosophie chrétienne et dont le génie embrassa l'humanité entière. En quittant Hippone, Sa Majesté se dirigea vers l'Alélik : Elle visita avec un grand intérêt l'exposition agricole impro­visée sur ce point. L'Empereur remarqua les produits de la compagnie des cotons algériens, qui emploie comme associés, sous l'habile direction de M. du Mesgnil, trois cent soixante familles indigènes. Ces associations entre Européens et Arabes se multiplient chaque jour et sont appelées à rendre d'immenses services dans un avenir très prochain. A côté du coton, ce produit précieux pour la France , étaient exposées les autres plantes indus­trielles, telles que les colzas. les lins, les tabacs, les produits de la vigne et plus de six mille têtes de bétail, qui témoignaient de la richesse du sol et de la diversité de ses productions.

Sa Majesté choisit divers échantillons de cette richesse agricole, notamment des tabacs indigènes et des vins d'El-Hadjar. Après avoir chaudement félicité les ordonnateurs de cette exhibition, Sa Majesté monta en wagon, accompagnée de M. Arnaud, directeur général des chemins de fer algériens. La voie sur laquelle l'Empereur allait voyager ne sert qu'à l'exploitation des mines de fer d'EI­Hedid Makta, qui sont à former une source de richesse inépuisable pour le pays. Un train spécial avait été impro­visé : un fourgon de minerai tendu de velours vert, rehaussé d'or et capitonné de soie blanche, avait été transformé en wagon confortable. Sa Majesté parcou­rut dans cet équipage les dix neuf kilo­mètres qui la séparaient de l'établissement métallurgique. A sa rentrée à Bône, Elle fut accueillie avec le même enthousiasme qu'au départ. A cinq heures, une salve de cent un coups de canon annonçait à la popula­tion, le départ de Napoléon III.

revue ensemble numéro 252 avril 2006


2e RPIMa - Opérations en Algérie

                                                   Embarquement vers le porte avions Lafayette Bône retour en France

 

Bateau transport matériel lors du retour Régiment port de Bône

 

 

 

  

2 éme REP a Bône

2e RPIMa - Opérations en Algérie

 

 


 

http://membres.lycos.fr/hede/necessites/colonies/b/bone/bone.html

http://membres.lycos.fr/hede/necessites/colonies/b/bone/bone.html

 


Bônois... souvenez vous !

FUSILLADE DU 13 DECEMBRE 1960,
RUE SAUNIER A BONE

Déposition de M. G. FLOIRAT, Architecte. Domicilié: Avenue Garibaldi,

Au moment de la fusillade, mon bureau était fermé, je travaillais à mon domicile, dans la salle à manger ouvrant sur une loggia avenue Garibaldi, au 1 er étage.

Vers 16 heures, j'ai entendu scander le slogan "Algérie Française" et je suis sorti sur ma loggia.

Un groupe d'une centaine de jeunes manifestants débouchait de la Rue Bugeaud , en direction du quartier de la Colonne.

Des forces armées étaient de faction aux abords, constituées par des isolés et de petits groupes. Il y avait des légionnaires en béret vert.

A l'approche de la manifestation, les forces n'ont rien fait pour se regrouper et s'opposer au passage de la colonne qui a poursuivi librement son chemin.

Elle s'est engagée Rue Carnot, en se bor­nant à scander "Algérie Française", mais sans manifester aucune marque d'agres­sivité et sans menacer en quoi que ce soit les personnes ni les magasins, tous fer­més d'ailleurs.

Environ 10 minutes plus tard, la mani­festation revenait par l'Avenue Garibaldi et débouchait sur le carrefour de la Colonne. Les bérets verts, mitraillette sous le bras, ont barré la route vers la place Marchis. La tête de la manifesta­tion commençait à dépasser la rue Saunier. Elle a fait demi tour, en indi­quant la rue Saunier comme point de direction et le cortège s'est engagé dans cette rue. L'émotion provoquée par la for­mation du barrage a fait cesser les cris, qui se sont arrêtés quelques instants plus

tard.

Les bérets verts, qui avaient formé le bar­rage, se sont précipités vers l'entrée de la rue Saunier, pour établir un nouveau barrage. Il ne se passait plus rien devant ma loggia.

Quelques secondes après, j'ai entendu plusieurs salves de mitraillette. Je suis allé au balcon de mon appartement don­nant rue Saunier. Les soldats étaient encore en position de tir. Des victimes, morts et blessés, étaient étendues sur le trottoir, baignant dans leur sang. Des témoins de la fusillade, indignés, étaient descendus dans la rue et manifestaient violemment leurs sentiments devant le massacre de ces jeunes gens, presque des enfants, alors que d'autres, restés à leur fenêtre, criaient leur réprobation.

Je dois insister tout particulièrement sur le caractère de cette manifestation si durement réprimée.

A l'aller, aucun désordre, aucune menace. Un simple défilé, ressemblant beaucoup plus à un joyeux monôme d'étudiants qu'à une manifestation d'hos­tilité. Au retour, même attitude, mais la formation du barrage émeut les mani­festants.

Bien loin de faire front, les jeunes gens prennent une autre direction. Le cri "Algérie Française" est remplacé par la Marseillaise. Les légionnaires mitraillent les enfants dans le dos et c'est en chan­tant la Marseillaise et les bras en l'air, qu'ils tombent sous les balles des troupes françaises;

Rien, absolument rien, ne nécessitait l'usage des armes. Il suffisait de le vou­loir pour disloquer la manifestation sans aucune brutalité et sans aucun heurt.

C'est sur cet aspect de la question que je tiens par dessus tout à renseigner la Justice.

 

 

ATTESTATION

Je soussigné Gaston FLOIRAT, Architecte honoraire, demeurant actuellement 11, Rue Psichari, au Chesnay (78) et, jus­qu'en 1961, 1 Avenue Garibaldi (Palais Loucheur) à BÔNE,

Certifie ce qui suit

Le Mardi 13 décembre 1960, il y avait une certaine nervosité en ville dont je ne me souviens pas exactement du motif,

Dans l'après-midi, un détachement mili­taire, sous les ordres d'un officier, était stationné sur la place Marchis.

Un groupe d'écoliers, des adolescents, sortant du collège technique, s'engagea dans la rue Saunier, en direction de la ville.

Un détachement de militaires, sous la conduite de l'officier a alors barré la rue Saunier, à son débouché sur l'avenue Garibaldi. Les écoliers, bloqués dans leur marche, ont entonné la Marseillaise , alors qu'un autre détachement, contour­nant le Palais Loucheur, leur a coupé la retraite vers leur point de départ.

Il faut bien préciser que ces écoliers, qui revenaient de classe, ne se livraient à aucune manifestation, ne troublaient en rien l'ordre public et n'avaient d'autres armes que leurs cartables et leurs règles à dessin.

Les militaires ont ouvert le feu sur eux, les mitraillant à bout portant. Plusieurs sont tombés, d'autres ont pu se réfugier

dans les cours intérieures du Palais Loucheur.

Les habitants, alertés par la fusillade, ont vivement réagi. M. VERICEL, qui habi­tait le rez-de-chaussée, s'est précipité vers l'officier commandant le détache­ment pour l'inviter à cesser cette tuerie.

Le jeune KANDEL, qui venait derrière ses camarades, n'a pas été pris dans la souricière. Il s'est enfui en contournant le Palais Loucheur. Comme il arrivait vers le milieu du square Randon, un militaire, posté à l'angle du Boulevard Papier, avec un fusil à lunette, lui a tiré dessus et l'a tué net d'une balle dans la tête.

Les victimes ont été évacuées par la suite.

J'ai téléphoné au Procureur de la République de Constantine, je me suis mis à sa disposition pour l'informer et le faire informer par les témoins. Il m'a répondu qu'il était au courant, qu'il était indigné et bien décidé à poursuivre l'af­faire. Il m'a engagé à faire une déposi­tion écrite à la Gendarmerie , ce que j'ai fait.

Depuis, je n'ai eu aucun renseignement sur la suite de cette affaire.

Je n'ai pas retrouvé la copie de ma dépo­sition, mais cette horrible fusillade m'a si fortement impressionné que j'en ai gardé un souvenir extrêmement précis et que je puis certifier que les indications ci-dessus sont rigoureusement conformes à la réalité des faits.

Signé : G. FLOIRAT

ENSEMBLE DECEMBRE 2004

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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http://www.symboles-et-traditions.com/affiches/page-affiches-afn.htm
AFFICHES AFRIQUE DU NORD

http://www.symboles-et-traditions.com/affiches/page-affiches.htm

AFFICHES " NOSTALGIQUES "

CAMPAGNES DE RECRUTEMENT - TRANSPORT AERIEN & MARITIME - AFRIQUE du NORD - EXTREME-ORIENT

MAGUET Jean-Pierre

 

 
  EMPLACEMENT DES CINEMAS

A Bône il y avait si je me souviens bien. Je ne crois pas en oublier

L'Alhambra presque à l'angle du boulevard Clemenceau et du Boulevard
Lavigerie
- Le Colisée au bout de la rue Thiers
- Le Majestic Boulevard Narbonne
- Le Pax à l'angle du boulevard Papier et de la rue Burdeau
- Le Rex boulevard des généraux Morris
- Le Variété rue Bugeaud
- Le Vox je ne me souviens plus où
- L'Empire : presque à l'angle du boulevard Papier et de la place Marchis
- L'Olympia : à l'entrée de la colonne
- Le Régent place d'Armes
Cordialement
Bernard du 06  pardigon.bernard@wanadoo.fr

 

Re Bonjour
J'apporte une petite correction à mon courrier précédant

Ce n'était pas le Pax mais le Vox qui était à l'angle du boulevard Papier et
de la rue Burdeau
Quand au Pax  je crois me souvenir qu'il était dans la rue derrière le stade
et la pépinière. Il me semble bien que c'est là que j'allais de temps en
temps le jeudi après midi, il y avait une salle de basket à côté.

Cordialement
Bernard du 06

Bonsoir les Amis
 
Pour les cinémas, voici trois pages.
 
 
 
 
Le Pax, rue sainte Monique
L'Empire, Bd Papier
L'Olympia, entrée rue Garibaldi
Le Rex, Bd Général Morris
 
Amitiés
     Jean Pierre  Bartolini
     jean-pierre.bartolini@wanadoo.fr


 
ANNUAIRE DE Bône A TELECHARGER Alain VENTURA
 
j'ai relevé l'information sur le site de l'Olympique de Marseille.

A propos de foot à Bône, j'ai une anecdote vécue.

Mon père m'avait amené au stade Pantaloni, l'un des derniers hivers avant l'indépendance, pendant la trêve hivernale.

Le championnat s'arrêtait déjà au moment des fêtes de fin d'année.

Comme vous le savez Bône était jumelée avec Strasbourg. C'était la fête en ville depuis une semaine, fête de la bière, ... . Ce jour-là il y avait un match qui opposait Strasbourg à l'OM. Les consignes données aux spectateurs avant le match était bien sûr de supporter Strasbourg.

Or le Bônois n'a jamais été fidèle aux consignes, et lors de la sortie des équipes par le  tunnel d'accès au terrain, c'est une véritable bronca de sifflets et de grognements qui ont acceuilli les joueurs de Strasbourg sortis les premiers. Ne comprenant pas, et effrayés les joueurs de l'OM sont retournés aux vestiaires protégés par la police, il faut rappeler que la période s'appelait alors "les évènements", pas encore "la guerre d'Algérie". Mais dans ma mémoire (j'avais 10 ans), les lazzi anti-Strasbourg et pro-OM étaient à l'unisson, et provenaient des deux communautés pied-noirs et algériennes.

Ensuite le match a pu débuté, et l'OM poussé par les encouragements de tout le stade  a arraché le match nul 2 à 2, bien  que l'équipe soit à mes yeux de l'époque inférieure à celle de Strasbourg.

Peut-être J-P as-tu des sources plus fiables que ma mémoire à ce propos.


JC PAGANO
 
   
DIAPORAMA 1
http://bone.piednoir.net/titre_rubrique/infos_diverses/mise_a_jour/image_infos_diverses/videos/aeronefs-algerie1.pps
 
DIAPORAMA 2
http://bone.piednoir.net/titre_rubrique/infos_diverses/mise_a_jour/image_infos_diverses/videos/aeronefs-algerie2.pps
 

 

diapo

 

 

documents MONSIEUR CIANTAR CHARLES  LE 7 OCTOBRE 2009 ciantar.charles@wanadoo.fr

 

     

  

 

 

    

  

                                                          

JOYEUX NOEL A TOUS PIEDS NOIRS ET PATOS !! POEME ECRIT PAR NOTRE AMI BONOIS GEGE

!!



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Joyeux noel a tous et a toutes

Je vous aime un point c’est tout !.

Pied noir je suis né

Pied noir je veux rester !

En ces jours de fêtes afin de ne jamais oublier

À mon pays l,Algérie je veux penser !

Car Noel là bas à Bône ,

C’était comme la cigogne ! .

En 2012 les gens courent comme des fous

Moi je m’arrête et je pense à St –cloud .!

À h ! noel noel en Algérie

C’était bien mieux qu’à paris !

À paris ils ont le lido et ses majorettes

Moi À Bône à noel j’avais tata odette

En france ils ont les champs élysés

Moi à Bône j’avais le cour Bertagna pour m’éclater !

On essaye de me faire croire en l’an 2012 . que j’ai tout ,

Non je n’ai rien car j’ai perdu en 62 mon Amour !

Algérie ! mon beau pays

Tes noels étaient des Paradis !

On avait un joujou et des oranges

Mais juste avec ça on était aux anges !

Aujourd ‘ hui 50 années ont sonné dans le temps

Mais je pense à toujours à toi mon noel d’antan !

De ces beaux noels dans mon pays l,Algérie

Il me reste à ce jour que mes souvenirs !

Aucune tristesse n,est dans mon cœur

Car le 24 au soir je serai à L’heure !

Oui je serai au rendez vous des souvenirs

Ce sera noel en Algérie !

À nouveau retentira ce soir là

Les * joyeux noel * de toute notre smalla .!

Noels en Algérie jamais je ne vous oublierai,

Je vous garde en moi à tout jamais !

………………………….

Joyeux noel à vous tous et toutes,nous avons construit et vécu dans un beau et grand pays l,algérie . aujourd Hui 50 ans apres .notre œuvre grandiose est ruiné et détruite . cela nous conforte que nous étions des grands . des batisseurs . des Héros . et que sans nous l, Algérie s,est laissé mourir . Joyeux Noel à tous les pieds noirs .

Pierre Marie Quefelec aux Fers à la Casbah de Bône, 1851 [Famille Saint-Thegonnec Rimpiriou]

http://queffelecadrak.canalblog.com/archives/2016/03/05/33469929.html

puplication ensemble MARS 2018