NE(E) à Bône

Roger Widenlocher

Né le 3 juin 1953 à Bône (Algérie).
Il tente de percer dans le dessin d’humour entre 1972 et 1975. A partir de cette date, l’histoire pert sa trace.
Il réapparaît mystérieusement en 1982 en collaborant avec une agence de presse à la publication dans les journaux d’une série de strip "Josua Livingroom Le Gabian"

   Bibliographie :

  • Josua Livingroom le Gabian
  • Nabuchdinosaure
  • Coyotte Bill
  • Woker
  • Achille Talon

Roger Widenlocher

Né à Bône en Algérie, il tente une percée dans le dessin d'humour en publiant dans Le Hérisson, Ici Paris, Marius.

Retiré dans un château du XVIIIè, il répond favorablement à la proposition de "Je bouquine" pour la publication d'une série humoristique et ressort de ses cartons de personnage de Nabuchodinosaure". En 1998, il reprend le flambeau et le pinceau de Greg pour les nouvelles aventures de Achille Talon.

 

 

TAIBI Abdelkader

 

Profession :
Commercant

Date de Naissance :
05-09-1941
Lieu de Naissance :
BONE ( ALGERIE )


Kader TAIBI a été conseiller de vente en immobilier pour plusieurs promoteurs à l’origine du quartier du Mail de Rochelongue au Cap d’Agde dés le début des années 1990.
Amoureux du Cap et de ce quartier, il créé son restaurant " La Rose des Sables " ou l’on pouvait déguster des spécialités de Kefta, boulettes brochettes et Couscous Bônois.
Kader l’enthousiaste, Kader le généreux, est un homme charmant et passionné.
En 2004, il cesse son activité de restauration qui laisse la place a une boutique de prêt à porter .

 

PHIL BARNEY

 

Né le 2 février 1957 à Bône (Algérie française).

Il commence la musique à l'âge de huit ans par le solfège et des cours de violon. Il décide d'apprendre la batterie et les percussions et à 13 ans il joue, comme un batteur, dans son pre mie r groupe : "Terre Neuve". A seize ans, il intègre un groupe qui joue dans les bals : "Les Diam's" avec qui il travaillera six ans mais cette fois comme chanteur, percussionniste. Il passe son bac et suit des études de chi mie . Dans ce lycée, il fera la connaissance d'un pianiste : Michel AMSELLEM avec qui il collaborera sur l'écriture de ses trois pre mie rs albums.

 

Phil Barney

 

1979: Il rencontre un ancien musicien de Jacques HIGELIN avec qui il va travailler sur un album en anglais. Ce qui l'amènera à faire la connaissance de Marvin GAYE, qui produira son pre mie r album (1981) avec les meilleurs musiciens français du moment :
C. SALMIERI, B. PAGANOTTI, B. LEROUX.

 

1981: Il participe à la création de la radio libre CARBONE 14 (une programmation exclusivement "Black Music"). Il est celui qui a amené le rap en France. A cette époque il débute comme DJ spécialisé "Funk" dans une grande discothèque parisienne.
Il devient animateur pour RTL TV où il présentera pendant 2 ans des émissions magazine. Une de ses émissions le conduira à présenter quotidiennement une éphéméride en rap !!

 

1983: Il signe son pre mie r single 2 titres, en français en tant qu'auteur, compositeur, interprète : "Rastaman et Marre d'être seul"

 

1986: Ce sera le début de sa carrière avec le tube "Un enfant de toi" vendu à plus de 650 000 exemplaires en France.

 

1988: C'est la sortie de son pre mie r album "Recto Verseau" sur lequel on retrouve les tubes "Avec qui tu vis" et "Un coeur qui danse".

 

1990: C'est la sortie de l'album : "Tour d'Ivoire" (disque d'or) avec les hits "Tour d'Ivoire", "Il est parti", "Tellement je pense à toi".
Il va écrire deux musiques de film "Bal Poussière" primé au festival d'humour de Chamrousse et "Le Sixième Doigt" du même réalisateur franco-africain : Henri DUPARC.

 

 

1992: Sortie de l'album "Carnets de route" avec les hits "J'voudrais qu'on reste amis" et "Quand tu t'enfuis".

 

 

1995: Sortie de l'album "Partager tout" suivi de son pre mie r spectacle sur une scène parisienne "L'Elysée Montmartre" et de sa première tournée française dans des villes comme : Nancy, Marseille, Toulouse, Bordeaux. Simultanément, sort sa première compilation "Histoires Confidentielles" qui sera disque d'or en 3 semaines.

 

 

1998: Sortie de son cinquième album "Voleurs de Rêves" enregistré à Los ANgeles avec son ami guitariste Kamil RUSTMAN et des musiciens américains prestigieux. Cet album l'amènera en février 1999 sur la scène du Casino de Paris pour trois superbes représentations.

 

 

2001: Il fait la connaissance d'un musicien, arrangeur de la scène R'N'B Marseilleise : Tony CAMILLERI avec qui il vient de terminer l'enregistrement de son sixième album qui comprend 14 nouvelles chansons.

 

 

2002 Ce nouvel opus sortira le 12 novembre chez "13 bis Records" et portera le nom de "C'est promis" (chanson écrite pour saluer la naissance de son pre mie r enfant).

 

Phil Barney et Marlene

Pas du tout aficionado du real TV, il fait pourtant la rencontre de Marlène qui fit un passage éclair dans la deuxième édition de "Loft Story" après que celle-ci ait chanté ses chansons dans le loft.
Il se crée une réelle amitié entre lui et cette jolie fille et il adapte sa chanson fétiche : "Un enfant de toi" et de la chanter en duo avec elle.
Le résultat est étonnant : la chanson connaît une seconde vie car le single se vend à plus de 700 000 copies, et devient l'un des plus gros tubes de l'été 2002, confirmé par un disque de platine.

Phill travaille actuellement sur la nouvelle chanson de Marlène qui sortira en même temps que son nouvel album, il est aussi très impatient de monter sur scène avec ses musiciens et de partir en tournée dans toute la France.

 

2003: Sortie de son nouvel album "C'EST PROMIS" Phil rend ici un hommage à la vie. Cet opus dont il signe la réalisation, inclus 14 chansons dont le titre "C'est Promis" dédié à son fils, et une nouvelle version solo de son tube "Un Enfant de Toi".

Comme toujours et parce que c'est un musicien hors pair, qu'on se le dise, il s'est entouré des musiciens et des choristes les plus efficaces de la place dont le fameux Tony CAMILLERI, quand il s'agit d'assurer le groove.

On aura dit de lui qu'il est " romantique, sentimental". Qui ne l'est pas ? Ceux qui le connaissent vous diront que c'est un alchimiste dont les essences premières sont: Amour, Générosité, Soul etr Groove !!!

 

Née à Annaba (ex-Bône) en Algérie et résidant aujourd’hui aux Etats-Unis, Elisabeth Higonnet-Dugua est l’auteur de La Mer blanche du milieu*, un roman qui évoque son enfance algérienne dans le tumulte de la fin de la guerre d’Algérie. Claude-Alice Peyrottes a quant à elle grandi à Aïn Boudinar (ex-Belle-Côte) avant de partir pour la France.
Des
années plus tard, une photographie de classe, au pre mie r rang de laquelle se trouve notre metteur en scène, va être à la base d’un projet théâtral qui donnera naissance à Lettres à Jeanne** de Messaoud Benyoucef. Dans le spectacle mis en scène par la comédienne et metteur en scène Claude-Alice Peyrottes, une femme qui a grandi en Algérie a écrit au maire de son village natal pour tenter de retrouver ses condisciples de l’époque.
La Mer blanche du milieu (El-Bahr el-Abiadh el-Moutawwassit, la mer Méditerranée en arabe) a été créé le 2 février 2001 au Théâtre de l’Agora d’Evry, par la compagnie Bagages de sable.
En janvier 2003, Claude-Alice Peyrottes a en outre porté à la scène Dans les ténèbres gîtent les aigles du même auteur. Le texte est paru à cette occasion aux éditions L’Embarcadère.

-  25 avril - 13 mai 2001, Théâtre de l’Épée de Bois, Cartoucherie de Vincennes, Tel : 01 48 08 39 74
-  18 novembre 2002, rencontre lecture autour de Lettres à Jeanne en présence de l’auteur, par le collectif Troisième Bureau, Grenoble



** La Mer blanche du milieu d’Elisabeth Higonnet-Dugua
(Paris, Séguier, 2001)
* Lettres à Jeanne de Messaoud Benyoucef
(Paris, L’Embarcadère, 2002)

 

 

MÊME GAINSBOURG A ÉPOUSE UNE Bônoise

http://sergegainsbourg.artistes.universalmusic.fr/1024/contenu/3/f6.html

 

 Pour la deuxième fois, Serge se marie. Avec Françoise Antoinette Pancrazzi, dite Béatrice, le 7 janvier 1964, à la mairie du VIIIe arrondissement. Béatrice est née à Bône, Algérie, le 28 juillet 1931. Elle est divorcée de Georges Galitzine, d'où son surnom de Princesse Galitzine. Elle lui apporte le confort d'une vie cossue, un appartement rue Tronchet. Elle est maladivement jalouse, d'un caractère emporté et a déjà tenté de se suicider parce que Serge voulait la quitter. Probablement se sait-elle déjà enceinte, Natacha, leur fille, naîtra sept mois plus tard

 

ghyslaine de sevlian née à Bône (ancien département Français) le 15 OCTOBRE 1948
RETOUR EN FRANCE EN 1961 SUR LA COTE D'AZUR DEPUIS CETTE DATE

Hélène Conway

 

Informations générales

  • Membre : Membre élu 1997, Membre élu 2000
  • Chef lieu de Circonscription : Londres
  • Date et lieu de naissance : 13/09/1960 à Bône (Algérie)
  • Profession ou qualité : Chef de département de langues
  • Mandat particulier : Commission permanente pour l'emploi et la formation
  • Commission(s) : Commission des affaires culturelles et de l'enseignement, Commission temporaire de la formation professionnelle pour les Français établis hors de France
  • Groupe : ADFE
  • Email : h.conway@assemblee-afe.fr

Informations complémentaires

  • A l'étranger
    • Téléphone : (353) 1 402 49 87
    • Fax : (353) 1 402 49 87
  • En France
    • Adresse : 37, route Nationale 69560 Saint-Romain-en-Gal
    • Téléphone : 04 74 53 18 16
  • Autre(s) titre(s) et fonction(s) :
    Présidente de l'ADFE Irlande, Membre du Bureau national de la Fédération des Français de l'étranger, Chef de projet à l'Institut des Affaires européennes de Dublin, Présidente de la French Benevolent Society de Dublin, Membre du comité directeur de l'Alliance française de Dublin
  • Décoration(s) :
    Chevalier de l'Ordre national du Mérite (2001)

 

Prix Vincent Scotto : "Je n'attendais que vous"
Auteur-compositeur : Jacques VENERUSO
Interprète : GAROU

S'il fallait, côté SACEM, retenir un seul moment des dernières Victoires de la Musique, ce serait sans doute le début, où l’on voyait un auteur-compositeur mis en vedette par son médiatique interprète qu’il accompagnait dans une version intimiste de leur œuvre, et la fin de la cérémonie où le même interprète -décidément une vraie star- s’étonnait dans un superbe mot d’auteur qu’il n’y ait pas de catégorie… "auteur" parmi la multiplicité des prix décernés ! Joli instant de vérité qui n’échappa pas à la sagacité des (nombreux) sociétaires SACEM présents dans l’assistance ce soir-là, dont une majorité de créateurs concernés par la déclaration.

La star en question s’appelait Garou, et l’auteur-compositeur Jacques Vénéruso, dont on découvrait pour la première fois les traits après en avoir si souvent lu le nom au verso des pochettes de CD depuis ces sept dernières années. Car qui connaît le visage des créateurs, cette face cachée de nos disques et concerts que les chanteurs et chanteuses d’antan annonçaient solennellement avant chaque titre ? ! Qui sait aujourd’hui qui écrit quoi, compose quoi, passé un tiercé gagnant qu’on ne présente plus ?


© Pingouin - Alain Régis

D’une certaine façon, Garou avait initié ce soir-là le prix des auteurs en donnant publiquement la parole à ceux qui en font profession de foi, en se faisant l’interprète des auteurs, côté cour, côté cœur.

Jacques Vénéruso, auteur-compositeur, est l’illustration vivante de cette armée des ombres qui, avec ses chansons, fait pourtant briller les sunlights, jette une poussière d’étoiles devant les caméras de nos “prime-time”.

Né à Bône (Algérie) en 1959, le -tout- jeune Jacques débarque, comme beaucoup de pieds-noirs, sur les quais de Marseille en 1962. Mais c’est en 1974, à 15 ans, qu’il prend, symboliquement, sa destinée en main en achetant sa première guitare. A cette époque, il est autant nourri de musique américaine, de B.B. King à Jimi Hendrix, que de classiques français, Brassens et surtout Ferré en tête. Côté groupes vocaux, il aime les mélodies, mais s’avoue plus américain que britannique, "plus Crosby, Stills and Nash ou Creedence Cleewater Revival que Stones ou Beatles, et d’un autre côté passionné de chœurs blues et gospel, de musique black". Autodidacte musical, il fera en 1977 un an de musique à Aix-en-Provence, après un an d’anglais, mais reconnaît avoir appris "sur le tas", en équipe : en l’occurrence le groupe Canada, créé cette année-là au lycée avec Eric Benzi, et les frères Gildas et Gwen Arzel.

Les voilà donc lancés, en pleines années Téléphone, sur les traces du succès qui bien sûr passe par Paris et se fera désirer, puisqu’il arrive… 10 ans après : ils montent dans la capitale en 1983, publient leur premier album, "Traces", en 1987 et décrochent aussitôt le jackpot avec le single "Mourir les sirènes". Suivront d’autres simples : "Les loups sont dehors", "Angelina" et un dernier "Ne m’oublie pas" qui ne marchera pas, mais deviendra un tube… 5 ans après par Johnny ! Mais ils ont trop attendu, et, soucieux de trouver leurs voies respectives, se séparent deux ans plus tard, tout en restant très liés, d’autant plus qu’ils continuent à travailler ensemble ! Gildas Arzel, le chanteur, attaque alors une carrière d’interprète en solo, Eric Benzi entame une collaboration avec Jean-Jacques Goldman -fan de Canada- dont il devient le réalisateur, et Jacques va se chercher durant cinq ans, période transitoire de la trentaine, où il devient professeur de guitare dans un centre culturel à l’Hay les Roses (1990/1994), tout en continuant à travailler "pour lui" et envisageant un temps de chanter. Mais c’est en Roch Voisine, tout juste sorti de son premier succès "Hélène", qu’il trouvera sa voix en 1994. La chanson, écrite à l’occasion d’un voyage de Jacques au Canada -où le groupe du même nom n’avait paradoxalement jamais mis les pieds !- s’appelle "Seine et Saint-Laurent" et enthousiasme immédiatement le chanteur québécois : un auteur-compositeur est né, à 35 ans.

Son interprète suivant s’appelle Florent Pagny, alors en rupture de carrière : ce dernier fait appel à Goldman qui lui écrit lui-même deux titres et rameute ses troupes par la même occasion, en l’occurrence Eric Benzi et Jacques. On les retrouve donc sur l’album "Rester vrai" avec des titres comme "Les hommes qui doutent" ou encore une ancienne chanson de Canada, "Jamais" enregistrée en duo avec Johnny Hallyday et publiée ensuite dans la compilation "Bienvenue chez moi".


© Pingouin - Alain Régis

De cette collaboration naîtra aussi entre Jacques et Florent une longue complicité scénique, puisqu’ils tourneront six ans ensemble, Vénéruso assurant aussi bien la partie guitare que la direction d’orchestre, de province à Bercy.

Après "Bienvenue chez moi", ils enchaînent en 1997 avec l’album à succès "Savoir aimer", contenant deux superbes titres de Jacques, "Loin de toi" et "Sierra Cuadrada", sur l’Argentine où Florent s’est installé, puis "Dix secondes autour du monde" sur le disque public qui suit (1998).

Mais 1995 est la véritable année de transition pour Jacques, puisqu’il se retrouve également avec Goldman et Benzi sur le disque "Lorada" de Johnny Hallyday ("Chercher les anges"). Puis il enchaîne avec le disque "Springfield" de Carole Fredericks, dont il assure aussi la réalisation, supervisant notamment un duo avec son frère, le fameux bluesman américain Taj Mahal. Sur l’album suivant de Carole, chanté cette fois en français et réalisé avec son ami Christophe Battaglia (l’un de ses deux coréalisateurs réguliers avec Patrick Hampartzoumian), "Couleurs et parfums", Jacques écrit encore plus de titres, dont "Qu’est-ce qui t’amène ?" et un texte sur une musique de Goldman : "Personne ne saurait". Avec Michael Jones, le troisième larron de la bande, il écrit également "Le temps fait mentir", sorti en single.

Les “années Vénéruso” commencent : suivront ainsi un single et un album pour la chanteuse israélo-égyptienne Ishtar ("Corps étranger"), un titre pour Faudel, "Les couleurs de ton âme", des chansons pour Anggun ("A la plume de tes doigts"), découverte par lui et produite par Eric Benzi, Yannick Noah ("Les lionnes" et "Entre ta peau et la mienne"-2001, plus de 1,5 million d’albums vendus !), et enfin la rencontre avec Garou : "J’avais depuis quelques années cette chanson-fétiche, "Sous le vent", dont j’avais du mal à me séparer. Valérie Michelin, du label Saint-George (Columbia), a craqué dessus et la semaine suivante, René Angelil l’appelait pour lui dire qu’il prenait ce titre pour Garou. On a enregistré la version solo à Londres, et comme Céline Dion la chantait sans cesse chez elle, l’idée du duo est venue…”.

Sur le même album, on trouve aussi un deuxième tube, "Je n’attendais que vous". Enfin, il vient de cosigner deux titres, "Marseille" et "Mon pays", avec Patrick Fiori, qu’il a également accompagné en tournée (tout comme Tina Arena) et avec lequel il va enregistrer en duo. Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, notre homme vient d’écrire le nouveau single d’Angélique Kidjo, une autre belle voix noire, réalisé par Renaud Létang et choisi par Jonathan Demme ("Le silence des agneaux") pour son prochain film.

Enfin, arrivé à un nouveau seuil de sa carrière, le petit guitariste de Marseille prépare actuellement un album acoustique avec Gildas Arzel et Eric Benzi, autrement dit… Canada, 13 ans plus tard, pense de temps en temps à un disque "à la première personne", pourquoi pas composé de versions personnelles de ses chansons -plus ou moins connues- pour les autres, et ne veut surtout pas devenir une fabrique de tubes :

"Je suis un solitaire en groupe. J’ai besoin de solitude pour travailler, je ne peux pas écrire à plusieurs. J’aimerais écrire des mélodies pour des artistes anglo-saxons, mais je tiens à garder mon rythme de travail, pas à faire des chansons à la chaîne. J’ai toujours écrit comme si c’était pour moi -à part pour les personnalités très marquées- des chansons que j’envisageais d’abord d’interpréter. J’aime bien qu’il y ait une idée conceptuelle dans mes chansons, et puis, j’ai mes thèmes récurrents : le déracinement, la distance, le décalage dans les sentiments, les gens qui manquent. Je pense qu’on écrit mieux lorsqu’on n’est pas bien…". En résumé, un artisan de chansons qui concilie avec brio et discrétion qualité et succès, et a tissé de chanteurs en chanteuses un univers bien plus personnel, sensible et original qu’on pourrait s’y attendre, un "auteur-compositeur-interprète pour les autres", appelé à un avenir aussi large et prometteur que ce ciel de Méditerranée en scope-couleurs qui ne l'a jamais quitté, qui éclaire son sourire. Un homme de parole doublé d'un mélodiste évident, une espèce sonc très rare !

1913 : Naissance, le 7 novembre, d'Albert Camus à Mondovi, petit village du Constantinois, près de Bône (Algérie).
YANN PIAT
l ' histoire secrète d' un assassinat.

José Murtas qui, en mars 1996, devient subitement le témoin central de l'affaire Piat, est né le 2 janvier 1941 à Bône, en Algérie. Rapatrié à l'âge de vingt ans, Murtas fait partie de cette population « déracinée » qui s'installe sur la rive française de la Méditerranée. En 1974, il est ravi d'avoir l'opportunité d'aider la France à se débarrasser de ces gaullistes qui ont « bradé l'Algérie ». De ses deux bras bien solides, il soutient la campagne présidentielle de Valéry Giscard d'Estaing. Et adhère au Parti républicain.

Athlétique, dans le genre beau garçon, Murtas est très populaire à Hyères où il habite, et travaille comme facteur. Une commune immense où la distribution du courrier n'est pas une mince besogne.

En 1978, pour les élections législatives, Murtas soutient logiquement le candidat de son parti, François Léotard. A cette époque, le découpage électoral n'est pas celui d'aujourd'hui, et « Léo » est le candidat d'une circonscription qui englobe Fréjus, sa ville, mais aussi Hyères. Une commune de
50 000 habitants


http://www.censure.org/politique/pays/france/piat2.htm


En boxe, tout comme en musique, l’adage de Miles Davis selon lequel "il n’existe pas mille sorte de moments mais seulement deux : les grands et les autres" est une vérité. Chaque mois, Sebastien Boniface revisite un des combats qui par son intensité dramatique a marqué les esprits au delà des générations, un des combats qui ont fait l'histoire de la boxe...

IL Y A 50 ANS, COHEN – TOWEEL

Le 3 septembre 1955, dans l’antre de la fabuleuse équipe de rugby du Transvaal : le Rand Stadium de Johannesburg, le français Robert Cohen défend sa ceinture mondiale des Coqs pour la première fois face au local, Willie Toweel.

Cohen, "la fulgurance"
Né en novembre 1930 dans le quartier du port de Bône (aujourd’hui Annaba) en Algérie, Robert Cohen découvre la boxe en février 1948 lors d'assauts amateurs organisés dans sa ville. Après s’être essayé aux métiers de plombier, de forgeron ou de menuisier, l’adolescent de confession juive, adepte des bagarres de rue juvéniles, ne rêve plus que de mettre les gants.
Malgré l'interdiction de son père qui n’affectionne pas ce sport, Robert se rend assidûment à la salle dirigée par Roger Léon. Son tempérament de "battant" lui permet de remporter le championnat amateur d’Algérie en 1949 puis se hisser en demi-finale du Tournoi d’Afrique du nord. A 21 ans, Cohen atteint la finale du championnat de France. Ce soir là, battu, sa fougue séduit pourtant Gaston- Charles Raymond. Celui-ci, ex-aventurier des rings américains, où dans les années 30 il livra, des poids mouches aux plumes; 163 combats (132 victoires pour 23 défaites), manager associé à l’Avia Club des frères Méquillet, le convainc de passer professionnel sur Paris.

Accompagné de son frère aîné Léon, Robert Cohen débarque dans la Capitale en juin 1951. C’est le début d’une fulgurante ascension ! En six mois, il remporte 8 de ses 9 premiers combats pros. Puis 14 nouveaux l’année suivante au cours de laquelle il lave son seul affront devant Robert Meunier. Rien ne semble résister à ce prodige qui surclasse ensuite le "vieux gitan", Théo Médina, ex-champion d’Europe. En novembre 1953, dans la salle Wagram, le jeune espoir dispose de Maurice Sandeyron aux points et décroche ainsi son premier titre : celui de champion de France des Coqs. Quatre mois plus tard à Belfast, Cohen punit le tenant européen, John Kelly, en huit minutes.

Après trois autres succès (notamment à Tunis devant le transalpin Mario D’Agata), le retrait du roi incontesté des coqs, l’australien Jimmy Carruthers, lui offre une chance de disputer le titre mondial vacant. Le 19 septembre 1954 à Bangkok, devant 60.000 personnes, à l'issue de 15 rounds violents face au thaïlandais Charern Songkitrat, le français est sacré. Quel aboutissement pour le môme du coiffeur juif du port de Bône ! Une consécration "royale" puisque entérinée par un juge de prestige, Nat Fleischer, le fondateur et rédacteur en chef du magasine américian, The Ring.

Si prés du drame
La remise un mois plus tard à N.Y. de la ceinture «The Ring Prize» marque l'ultime étape de sa reconnaissance comme "boss" des Coqs. Pourtant, alors qu’il n’existe que deux fédérations : la NBA et la Commission de N.Y (plus une troisième de moindre importance : L’IBU). La première citée impose à Cohen d’affronter dans les deux mois son challenger officiel, l’invaincu mexicain Raul Macias. Mécontent, son manager parisien refuse cette injonction et annonce son intention d'organiser une première défense en Afrique du Sud. Devant ce fait, la NBA tranche et destitue le français.

Alors que Macias s’empare de cette portion du titre devant Songkitrat en mars 1955, Cohen toujours reconnu par la commission N.Y. et l’IBU, frôle l’irréversible à quelques jours de son départ vers Johannesburg. Sur la route du retour vers son camp dans la forêt de Rambouillet, après avoir présidé une réunion à St Germain en Laye, il est victime d’un terrible accident de voiture. Hospitalité à Suresnes, souffrant de fractures à la mâchoire, de plaies au visage, et de multiples contusions, le champion est immobilisé durant de longues semaines. Incapable de remplir ses engagements, Robert Cohen craint une nouvelle destitution… Pourtant sagement, les deux organisations lui accordent un sursis et accepte un report au 3 septembre pour affronter l’invaincu sud-africain, Willie Toweel.

Un air de famille
Né en avril 1934, à Benoni, Willie Toweel est le 5ème fils de la plus légendaire lignée familiale de pugilistes. La passion du père, Mike, bon poids plumes dans les années 30, le poussa à enseigner le noble art à ses 6 garçons. Si l’aîné, Maurice estropié à la suite d'un accident, dut se reconvertir en promoteur, le cadet, Jimmy, remporta le titre national des légers en 1949. Vic-Anthony détint ensuite le titre mondial des coqs de mai 1950 jusqu’en novembre 1952 (date à laquelle il le céda à Jimmy Carruthers). Allan (l’intellectuel), un virtuose des légers, disputa une quinzaine de combats (tous victorieux) avant de préférer endosser l’habit d’entraîneur. Enfin, le bouillant rejeton, Fraser, échouera à quatre reprises dans d’incroyables batailles pour le titre sud africain des welters devant Wil Ludick (futur champion du monde et vainqueur de Jean Josselin).

En quête de reconquête du titre perdu trois ans auparavant par son frère, invaincu en 20 combats (14 remportés par KO), Willie (champion national des coqs et des plumes) porte tous les espoirs d’un "clan hors norme" ... A quelques heures du choc, c'est la panique. Robert souffre d’une effroyable crise de furoncles à la joue gauche. Aliter toute la vielle du combat, il sait qu'il ne peut reculer ce rendez-vous, sous peine d’être définitivement déchu ... Pour la pesée, Charles Gaston maquille les énormes plaies avec du talque. Le secret (la faiblesse) ne doit pas apparaître ! Pourtant, si dans les vestiaires, Robert Diamant tente de détendre l’atmosphère, l’inquiétude pèse lourdement. Comment Robert peut-il combattre avec de tels abcès ? Affaibli, il doit chercher le KO au plus vite, car tous les coups reçus sur son visage lui feront vivre un martyr ! En outre, l’arbitre Wilfred Zimmerman Lubbe (qui officie aussi bien sur les rings que sur les terrains de football de première division !) et les autres juges sont tous… sud africains (!!!).

Souffrance, ténacité et exploit
Devant plus de 30.000 spectateurs, presque tous blancs, puisque seule une petite enceinte spécifique est réservée aux personnes de couleur, Robert Cohen plus petit (1 m 58 contre 1 m 71) entame l’affrontement "tambour battant". Il avance, brise la distance, se désaxe et cherche le coup dur. Lors du second round, sur un enchaînement conclu par une lourde droite, Toweel titube… Adossé aux cordes, ce dernier ne doit son salut qu’à l’arbitre qui le réprimande au lieu de le compter. Qu’importe, Cohen est intenable ! Sur une nouvelle combinaison, le challenger est expédié au sol. Vexé, le springboks se relève immédiatement. A nouveau gêné par les remontrances de Lubbe, Cohen n’arrive pas à conclure malgré un second Knock-down. Sauvé par le gong, Toweel rentre dans son coin, à la dérive. Tout semble plié… Mais, comme si le sort s’acharnait encore sur le tricolore, dès les premiers instants du round suivant, son pouce droit se fracture.


Incapable de donner ses vives droites à toute puissance, Cohen énervé par les incessants accrochages de son adversaire qui pourrissent l'affrontement, perçoit qu'il est engagé vers un combat plus long qu'espéré. A la mi combat, porté par son public, le sud africain renverse la tendance... Malmené dans les 9ème, 10ème et 12ème rounds, Cohen recule à présent. Quelle bataille ! Quel calvaire, et quelle ténacité dont fait preuve le français qui ne veut rien céder ! Si certains ont lâché leurs titres sans même les défendre ; la main brisée, la joue et le nez en sang, Cohen dur au mal, n’abdique pas. Au plus profond de ses tripes, il livre une lutte dantesque et touche le sud africain par de puissantes gauches dans les trois dernières reprises acharnées…

Fin du 15ème : les deux hommes sont exténués. La décision sera serrée… Dans les bras de son père, Willie Toweel reçoit les compliments des siens. Le premier juge lui donne sa préférence. La foule exulte ! Mais, les deux autres optent pour le nul. Le français réussit l’exploit de ramener sa couronne mondiale en France. Mais de ce long et douloureux voyage, Cohen rapporte un plus précieux trésor encore... Zita, l’amour de sa vie rencontré sur les plages de Durban, fille d’un riche industriel du Congo Belge (Zaïre) qu'il épouse dès son retour.

L'Etoile Filante
Trois mois plus tard, alors qu’il n’a pas totalement récupéré de ce dur affrontement, Cohen défiera au Vel-d’hiv le champion de France des plumes (futur d’Europe), le merveilleux Cherif Hamia. Battu en puissance par le marocain, le champion du monde des coqs sera envoyé au tapis au 2ème puis 7ème round avant d’être arrêté sur blessure au 10ème round. A 26 ans, écoeuré par les manipulations crapuleuses de certains membres de son entourage, sous la pression de Zita qui souhaite tant qu’il cesse de se battre, il cèdera à sa sortie suivante, en juin 1956 au stade Olypique de Rome, devant 35.000 personnes, son titre mondial à son ancienne victime, le sourd-muet Mario D’agata. Annonçant contre toute attente son retrait définitif des rings, en pleine force de l’âge, Robert Cohen se consacrera à la gestion des entreprises de son beau père, avant que ses vieux démons ne le poussent à un combat de retour, puis à ouvrir une salle dans les quartiers d’Elisabethville avant d'endosser la responsabilité technique de l’équipe amatrice du Zaïre. Willie Toweel (qui n'aura jamais plus de chance mondiale) deviendra une immense référence en tant qu'entraîneur...


Installé aujourd'hui à Bruxelles ; mal connu des jeunes générations ; par sa classe, son courage et son exemplaire carrière "éclair" (qui ne dura que 5 années durant lesquelles, loin d'être un boxeur protégé, il disputa tous ses titres à l'étranger !) Robert Cohen laissera à jamais l’image d’un champion surdoué, intègre et généreux. Un homme passionné et passionnant.

Sebastien Boniface, le 05 Septembre 2005

Le Coeur à l'école, poèmes.
BRUA Edmond Souvenirs d'école de cet auteur natif de Bône (Annaba) en Algérie

http://www.abebooks.fr/search/sortby/3/an/Edmond+Brua

 

Victor Maurice Garrigou est né à Bône (aujourd’hui Annaba), en Algérie, le 13 septembre 1846. Son père, Joseph Marie Casimir, était notaire dans cette même ville, rue Rovigo. Bône, qui venait d’être rattachée à la France (en 1832), ne comptait alors que 5.000 habitants environ.
Après avoir obtenu son diplôme de bachelier en Algérie, il vient faire son droit à Toulouse. Lauréat de la Faculté pendant les trois années de licence (1866, 1867, 1868), il est reçu docteur, le 15 février 1872. Sa thèse, dirigée par Gustave Bressolles, porte le titre suivant : Du paiement des dettes dans les successions ab intestat et testamentaires, en droit romain et en droit français. Stagiaire au Barreau, il remporte la médaille Fourtanier, la plus haute récompense du stage.

Au lieu de se faire inscrire sur le tableau de l’ordre des avocats, il entre dans une étude de notaire (3, rue du Poids-de-l’Huile), et y occupe pendant plusieurs années les fonctions de premier clerc. Il accède au notariat le 29 avril 1878, et sera successivement membre, puis président de la Chambre des Notaires.

Elu à l’Académie de Législation de Toulouse (associé ordinaire en 1894, puis trésorier, en 1900), il est fait Chevalier de la Légion d’Honneur et Officier d’Académie.
Après avoir épousé Melle Augusta Marie Marguerite d’Albis de Razengues, fille du baron d’Albis de Razengues (propriétaire du château de Razengues, près de l’Isle-Jourdain), il élit domicile 20, place Saint-Pantaléon (aujourd’hui place Roger Salengro).
Il s’éteint à Toulouse le 7 décembre 1912, semble-t-il sans descendance.

Peu après son décès, l’Académie de législation de Toulouse crée, en 1913, une Fondation « Maurice Garrigou » : chaque année, celle-ci décernera aux travaux juridiques les plus remarquables « une ou plusieurs médailles d’or, d’une valeur de cent à trois cent francs ».
Le 11 juillet de cette même année, à l’ouverture de la séance du Conseil de la Faculté de Droit, le doyen Maurice Hauriou donne lecture de la lettre suivante :

« Monsieur le Doyen,
Désirant perpétuer la mémoire de mon très regretté mari, Me Maurice Garrigou, j’ai l’honneur de vous aviser que j’offre de faire donation à la Faculté de Droit de Toulouse d’un titre nominatif de rente française de cinq cents francs de rente, à la charge d’ouvrir à la Faculté un salon des professeurs qui portera le nom de « Salle Maurice Garrigou », et d’y mettre à la disposition des professeurs des journaux et des revues pour lesquels la fondation que je fais servira de fonds d’abonnement et de reliure.
Mon mari ayant conservé une grande affection pour la Faculté de Droit de Toulouse, dont il fut l’élève et dont il aurait voulu être l’un des maîtres, je tiens à ce que le corps professoral de cette faculté lui soit redevable de cette moderne commodité.
Veuillez agréer, Monsieur le Doyen, l’assurance de mes meilleurs sentiments.
Signé : A. d’Albis de Razengues Garrigou
Toulouse, le 10 juin 1913. »

Le P.V. de la séance poursuit : « Aussitôt après lecture, la Faculté décide à l’unanimité d’accepter la libéralité de Madame Garrigou. Elle charge M. le Doyen de se faire auprès de la généreuse donataire l’interprète de ses remerciements et de sa reconnaissance. Elle le charge, en même temps, de passer un acte d’acceptation provisoire de la donation qui vient d’être faite à la Faculté de Droit. »
La Bibliothèque Garrigou était née.

 

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DOSSIER DE PRESSE

avril 2005

Philippe Leoni :

A cheval entre deux mondes

Membre de l’équipe de France de Saut d’Obstacles

et...

Président Directeur Général de Spir Communication,

Philippe Léoni occupe une place à part dans le monde de l’équitation. Un personnage exigeant et passionné qui organise

méticuleusement sa double vie et qui a finalement choisi de ne pas choisir. Il aime les chevaux, la compétition mais ne pourrait

pas vivre sans l’univers des Affaires.

Et pour la première fois depuis le début de sa carrière en Saut d’Obstacles, il décroche son billet pour un gros événement : la

finale de la Coupe du monde à Las Vegas.

©Grand Prix Magazine

PHILIPPE LEONI, LE CHEF D’ENTREPRISE

Difficile d’imaginer l’importance de l’homme d’affaires qui est en sommeil lorsqu’il

déambule, flegmatique, dans les travées des concours hippiques chaque week-end… Et

pourtant, Spir Communication, c’est 3500 employés. Une entreprise aixoise qu’il a fait

passer au rang des plus grandes entités nationales avec pas moins de 500 millions

d’euros de chiffre d’affaires en 2004. Un poids lourd et des responsabilités colossales.

Né à Bone (Algérie) en 1959, Philippe Léoni suit une scolarité classique sous la houlette de

sa mère et de Claude son frère aîné. Il passe un Bac Comptabilité puis décroche un IUT de

Marketing. Sous l’impulsion de son frère, Philippe entre comme vendeur “de base” de

publicité au sein de l’entreprise familiale Spir Communication, société éditrice de 175

journaux gratuits, qui tire principalement ses revenus des encarts publicitaires.

Il y entame l’apprentissage d’un patron de terrain, de ceux qui savent mettre la main à la

pâte. Il aime l’entreprise et ses nombreux dédales, le business, mais n’oublie pas les

hommes. « Je pense être un libéral mais avec un grand respect pour les hommes,

précise-t-il. Et c’est possible, contrairement à ce que l’on croit. On peut être social et libéral.

Je ne crois pas aux dogmes. J’aime au contraire les relations humaines, la transparence et

l’ouverture d’esprit. »

Philippe Léoni se jette finalement avec appétit dans cette nouvelle vie et gravit les échelons

un à un. L’entreprise familiale est vendue en 1991 au Groupe Ouest France, qui garde

Philippe Léoni à la vice-Présidence du groupe puis à la présidence jusqu’en 1998.

Il décide finalement de partir rejoindre son frère et de se lancer dans de nouvelles

aventures. Une brève escapade puisque Ouest France l’appelle à la rescousse en 1999… Il

accepte en homme de challenge, d’autant qu’un projet est de nouveau en train de naître

dans sa tête.

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©Grand Prix Magazine

Amateur de presse...

Amateur de presse, il imagine une autre conception du traitement de l’info visant un

lectorat plus jeune et jusqu’alors peu amateur de quotidiens. Alors, quand le projet de « 20

Minutes » lui est présenté, il dit banco ! C’est ainsi qu’est né ce pionnier de la presse

gratuite dans la même lignée que son concurrent « Métro » sorti également en 2002.

« 20 Minutes » c’est un budget global investi de 38 Millions d’euros avec son associé, la

société norvégienne : Schibsted.

« 20 Minutes » c’est 745 000 exemplaires distribués par jour à Paris, Lille, Lyon, Marseille et

Bordeaux. La rédaction compte soixante journalistes contre trente l’an passé et le quotidien

gratuit figure aujourd’hui à la deuxième place derrière « Le Parisien » sur Paris- Ile de France.

Mais, au moment du lancement, 20 Minutes c’est aussi une dose de travail colossale pour

Philippe Léoni, des moments de crises, l’inquiétude du monde de la presse qui voit d’un

mauvais oeil l’arrivée de ce trouble-fête. Bref, une période qui le fait douter — un temps —

de pouvoir continuer à mener ses deux carrières parallèlement.

Spir Communications

en quelques chiffres...

CA 2004 : 505,9 Millions d’euros

3734 collaborateurs

25458 distributeurs

Presse hebdomadaire gratuite :

176 éditions

15 millions d’exemplaires publiés chaque

semaine

Spir Communication détient une participation

de 25 % du capital de 20 Minutes France S.A.S

Spir Communication est côté au premier

Marché Euronext, fait partie des indices Next

150 et SBF 120 et est elligible au SRD

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©Grand Prix Magazine

©Grand Prix Magazine

PHILIPPE LEONI, LE CAVALIER DE HAUT NIVEAU

Philippe Léoni découvre l’équitation vers l’âge de treize ans. Son frère Claude lui propose

de faire une promenade dans la Drôme. Il y monte une jolie jument alezane : Ondine.

Lors de son installation à Aix en Provence, Philippe fait la rencontre de Pierre Van de Velde

moniteur et dirigeant de club tourné vers le Concours Complet. Le virus de cette discipline

le contamine alors… Un premier pan de sa vie qui durera treize ans jusqu’aux Jeux

Olympiques de Séoul en 1988.

Le cheval Brin d’Amour V lui fait faire ses premiers pas en épreuves nationales et l’emmène

jusqu’à l’Equipe de France. C’est ensuite Lourin Creiomin qui lui permet de décrocher un

contrat de conservation en vue des Jeux Olympiques de Séoul. En 1987, le couple rafle une

vingt-deuxième place en individuel au Championnat d’Europe de Lumühlen. Puis en 1988,

alors qu’ils figurent sur la liste pré-olympique, le cheval se blesse définitivement.

Faute de retrouver une monture pour le Concours Complet, Philippe Léoni se tourne vers le

Saut d’Obstacles. Dès lors, fidèle à son esprit perfectionniste, il emprunte tranquillement

une longue et sinueuse route qui le mène vers le plus haut niveau de cette discipline.

Quiéva du Marais lui fait faire ses premiers pas en Championnats internationaux. Puis c’est

avec Pin Pin du Vallon qu’il dispute ses premières Coupes des Nations.

En 1998, un joli cheval bai lui permet de capturer sa première grande victoire

internationale. C’est au Salon du Cheval avec Easy Boy.

Il entre dès lors dans le gotha des trente meilleurs cavaliers mondiaux.

Philippe Léoni décide alors de refonder ses bases de travail avec un objectif :

tendre vers l’excellence tout en conservant son atypisme. Spir Communicationlui demande beaucoup d’investissement temps; il lui faut donc une cellule

équestre adaptée et une personne d’expérience capable de pallier à ses

absences en semaine. Il se tourne donc vers le double Champion du Monde

Gilles Bertran de Balanda, expert en matière de coaching.

Aujourd’hui, Cyrenaïka, jument allemande d’une qualité peu commune, lui

permet de franchir un pallier supplémentaire et lui ouvre les portes de la

Finale de la Coupe du Monde de Las Vegas.

Philippe Léoni accède à un rêve : disputer sa première

grosse échéance avec l’Equipe de France de Saut

d’Obstacles.

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©FFE/PSV

©FFE/PSV

UNE QUESTION A PHILIPPE LEONI...

Comment gérez – vous votre « double vie » ?

« Le milieu de l’entreprise et celui du sport de haut niveau sont très interactifs ». Ils sont

très rigoureusement compartimentés dans mon organisation, mais ils se nourrissent

l’un l’autre.

J’ai une grande rigueur et un sens de l’organisation qui m’ont été inculqués par le

monde du travail.

De son côté, la haute compétition m’a appris à relativiser les enjeux économiques de

l’entreprise. J’y ai acquis un sens du dépassement et la volonté de me fixer des

objectifs ambitieux.

Je pense qu’il faut être très atypique pour mener deux activités de front. Mais avant

tout, ne pas tricher. Lorsque je suis dans les locaux de Spir, je veux être le meilleur et

je me donne à 200%. Et à cheval, je ne veux pas faire les choses à moitié. Je monte

pour progresser et atteindre le top niveau. Pour parvenir à cela, il faut avoir la

capacité de compartimenter et de savoir déconnecter au bon moment. Ce qui n’est pas

toujours simple… »

A ses yeux, seuls la remise en question permanente et le travail permettent d’approcher

l’élite.

« Je connais peu de gens qui en sont vraiment capables », souligne t-il. Or, le monde

de l’entreprise vous l’inculque très rapidement. Ma vie est un peu folle dans l’intensité.

Le plus dur à mon niveau de responsabilité, c’est la pression qu’il faut apprendre à

gérer dans ces deux domaines. Une chose est sûre, j’ai tenté d’opérer un choix entre

ces deux vies mais je n’y suis jamais parvenu. Cet atypisme est nécessaire à mon

équilibre… »

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©FFE/PSV

PHILIPPE LEONI, EN QUELQUES DATES

2 octobre 1959 : Naissance à Bone (Algérie)

1981 : Entrée à Spir Communications

1987 : Championnat d’Europe de Lumühlen (22ème en individuel)

1991 : Vente de Spir Communication au Groupe Ouest France.

Philippe Leoni reste alors vice-Président puis Président de la Société.

1998 : Quitte la présidence de Spir Communication

1998 : Victoire dans le Grand Prix international de Paris avec Easy Boy

1999 : Retour de Philippe Leoni en tant que PDG de Spir sur la demande du Groupe Ouest France.

2001 : Victoire de la France dans la Coupe des Nations de Rotterdam.

Philippe Leoni fait partie de l’équipe avec Liro.

2002 : Lancement du magazine gratuit « 20 minutes ».

2002 : Acquisition de Cyrenaïka

2005 : Qualification de Philippe et Cyrenaïka pour la finale de la Coupe du Monde.

Spir Communication

ZI des Milles - Europarc de Pichaury - Bâtiment D5

1330, av Guillibert de la Lauzière - 13592 Aix-en-Provence Cedex 03

Tél : 04 42 33 65 00

www.spir.fr

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www.ffe.com/infos/actualites/documents/Leoni.pdf

 

Galeries Virtuelles Ghyslaine De Sevlian (Sélection) :
"née dans un pot de peinture..." Ghyslaine De Sevlian
 • "née dans un pot de peinture..."
    Ghyslaine De Sevlian, 78 Oeuvres - Peinture
>> Voir toutes les Galeries [ + ]    |    Voir toutes les oeuvres - Ghyslaine De Sevlian
Au sujet de l'artiste:
  Ghyslaine De Sevliannée à Bône (ancien département Français) le 15 OCTOBRE 1948 RETOUR EN FRANCE EN 1961 SUR LA COTE D'AZUR DEPUIS CETTE DATE.
   
Philosophie et Concepts :

Dans ma démarche picturale, j'ai connu un Maître de qualité qui m'a souvent fait du mal en m'accordant une critique sévère mais, justifiée - Je le remercie vivement pour m'avoir tant appris, cela m'a permis d'avancer... Je suis passée de l'Ecole Académique de dessin à la peinture figurative, puis, plus aboutie, une sorte de classicisme - Mais, il faut apprendre, puis desapprendre car, l'Art doit dépasser la réalité!!! mais de manière HARMONIEUSE - Il ne faut pas copier mais offrir sa propre vision du monde qu'elle soit spirituelle, figurative ou autre. Le monde nous environne, il faut regard [..]
Lire la suite
 
Coordonnées de l'artiste :
  Nom : Ghyslaine De Sevlian
Email : Envoyer un mail à Ghyslaine De Sevlian Cliquez ici
Tel : 0489 017 315
Tel 2 : 0622 404 037

Site Web : ghyslaine-desevlian.com 

http://www.ghyslainedesevlian.com/

Nom (Email) = sorrentino ghyslaine (ghyslaine.sorrentino@club-internet.fr)
Site (Note) = ()
IP = 87.89.1.45
Ville = cagnes-sur-mer
Message = Bonjour à vous tous mes compatriotes, Tout d''abord mes plus vives félicitations pour ce merveilleux site sur ma ville natale. J''ai pu redécouvrir des images estompées par le temps et j''ai découvert par pur hasard que j''étais référencée dans les moteurs de recherche web dans votre site. Je suis née en 1948 et je m''appelle ghyslaine sorrentino. Mon cher papa avait une importante entreprise de peinture rue Bouscarein et ma mère est une fille ciantar. Quant à moi, ''née dans un pot de peinture..'', je me suis remise à peindre depuis 1985. j''ai adopté un pseudonyme ghyslaine de sevlian à la suite d''une plaisanterie. nous sommes rentrés en france, à cannes précisement en 1961 et j''étais au Lycée Mercier juste avant mon départ en 5ème. J''aimerais retrouver des amies de classe ou de voisinage. Nous habitions aux beni-ramassées. Si vous voulez bien visiter mon site et me laisser un message sur lelivre d''or, j''en serai très fière web http://www.ghyslainedesevlian.com ou www.artmajeur.com/ghyslainedesevlian. J''habite cagnes sur mer et j''ai un petit atelier dans le vieux nice, au 4. rue françois zanin (près de la table alziari). je serai ravie de vous accueillir. a très bientôt

 

Jean-Paul SCHINTU est né à Bône en Algérie

Il a été l'élève d'Antoine Vitez au Conservatoire National Supérieur de Paris, puis co-directeur du Théâtre de l'Escalier d'Or pendant huit ans.
Il a joué dans plus de 50 pièces, tant classiques (Molière, Marivaux, Musset, Maupassant…) que contemporaines (Nathalie Sarraute, Paul Claudel, Victor Haïm, Michel Viala, Serge Ganzl, Agotha Khristof…), et cela tant à Paris, en France ou à l'étranger dans de nombreuses tournées : Etats-Unis, Australie, Inde, Moyen-Orient, Afrique du Nord, Europe centrale, Chine…
Il poursuit actuellement un travail sur le rapport Mots / Musiques en compagnie d'instrumentistes, mêlant des textes de grands écrivains : Apollinaire, Genet, Duras, Neruda, Primo Levi - à des musiques existantes ou improvisées.
Parallèlement, il interprète en France et à l'étranger un spectacle en solo autour de l'oeuvre de Jacques Prévert.

 

 

http://www.radiojunior.com/depart.php?truc=http://www.radiojunior.com/artistesenfant/fichiers/jmrey.htm

http://www.radiojunior.com/depart.php?truc=http://www.radiojunior.com/artistesenfant/fichiers/jmrey.htm

Jean-Michel Rey est né à Bône (en Algérie) le 29 décembre 1959. C 'est en 1962, qu'il arrive dansles Vosges avec ses parents.

Il reçoit une guitare pour le Noël de ses 16 ans. Il fait dans la foulée ses premières compositions et écritures.

A l'âge de 18 ans, il devient instituteur.

Il fonde avec un ami le groupe 'Vis à vis" avec lequel il sort une cassette "Et même si..." en 1992.

Durant l'été 2000, Jean-Michel écrit les pre mie rs morceaux de son album "Pim, pam, poum" qui sort vers Pâques 2001.

ean-Michel continue son métier d'enseignant. Il est professeur d'éducation physique avec comme spécialité "les arts du cirque".

 

http://jacques.vassieux.free.fr/modules/edito/content.php?id=2



Jacques VASSIEUX

Conseiller régional Rhône-Alpes,
Ancien Conseiller municipal de Meythet,
Secrétaire Départemental de la Savoie.

Né le 15 février 1951 à Bône (Algérie Française), il épouse une Savoyarde dès son service militaire achevé au 13ème Régiment de Dragons Parachutistes à Dieuze.
Père de deux enfants, il entre très jeune dans la vie active et fonde son entreprise de constructions à l âge de 25 ans.
Il dirige aujourd’hui encore un cabinet immobilier et il est devenu un expert reconnu en matière d’urbanisme et de construction.
.
En 1983, il se lance en politique sous les couleurs de l’URDF (Union pour le Respect et le droit des Français) association dont il est le Président fondateur et mènera une liste aux élections municipales de Meythet.

Il rejoindra le Front National et Jean-marie LE PEN dès 1984.

En 1989 il fera son entrée au conseil municipal de MEYTHET et sera réélu en 1995.

Parallèlement à une vie professionnelle bien remplie, il se consacre pleinement à l’action publique où il fait, à de nombreuses reprises, preuve de son dynamisme et de ses compétences techniques unanimement reconnues.

Homme de terrain et d’expérience, il connaît parfaitement les problèmes que peuvent rencontrer les élus locaux dans l’exercice de leur mandat.

Engagé très tôt dans l’action publique il sera Secrétaire du canton d’Annecy Nord-ouest, puis responsable de 1ère Circonscription .

En 1996 il devient Secrétaire départemental adjoint et seconde Dominique MARTIN au bureau de la fédération.

Jacques VASSIEUX sera le candidat du Front National aux élections municipales de 89, 95 et 2001, aux élections cantonales de 88, 92, 98 et 2004, aux élections régionales de 92, 98 et 2004 et aux élections législatives de 93, 97 et 2002.

En 1996, Jean-Marie LE PEN le décorera de la Flamme d’Honneur, plus haute distinction du Front National, pour son engagement sans faille et sa fidélité.

Il sera élu Conseiller régional Rhône-Alpes en 98, réélu en 2004.

Depuis 1995, il dirige un cabinet immobilier et est devenu un expert reconnu en matière d’urbanisme et de construction.

Sa devise : « la défaite d’un juste vaut mieux que la victoire d’un tyran ».

 


jacques.vassieux@wanadoo.fr

Bonjour,

Je viens de découvrir, tout à fait pas hasard, en visitant votre
excellent site, que vous m'aviez fait l'honneur de me faire figurer
parmi des personnalités nées à Bône.
  C'est vraiment gentil de votre part et j'en suis très touché.
Je tenais donc à vous en remercier très chaleureusement.
Vous ne pouvez pas savoir comme cela me touche et je ne peux m'empêcher
à cet instant de penser à mon père, aujourd'hui disparu , qui aurait
été si fier de voir son nom paraître au milieu de celui de ses
compatriotes connus comme Robert Cohen, le grand champion de boxe qui
était son ami et était venu chez nous à plusieurs reprises dans le café
que mes parents tenaient Au Tarf.
Merci encore M. Ventura et bravo pour votre magnifique travail de
mémoire.
Fraternellement,
Jacques Vassieux

31.5.10

Il est temps de vous dire adieu

Portrait-JacquesJe savais bien qu’un jour viendrait le moment où je vous le dirais mais j’avais peur de le faire et je reculais la date de plus en plus.
Là je suis contraint de le faire car le temps m’est désormais compté. Je sais que cela va se terminer dans quelques jours, voire quelques semaines – j’ai toujours été optimiste- tout au plus. Et je ne voudrais pas partir sans expliquer l’histoire, la sale histoire qui m’est arrivée.

Voilà, je suis atteint d’un cancer.

Un cancer « haut de gamme », comme dirait Dominique Martin … Le cancer du pancréas.
J’ai été diagnostiqué le 3 janvier 2009 alors que j’étais à des milliers de kilomètres de mon cher pays. Le médecin mauricien que j’avais consulté pour un ictère survenu soudainement n’y était pas allé par quatre chemins pour m’annoncer la terrible nouvelle : « M. Vassieux, je suis désolé de vous apprendre que vous avez une tumeur située à la tête du pancréas. C’est très grave. C’est un cancer. Nous, ici, nous ne pouvons rien faire pour vous. Il faut que vous rentriez d’urgence en France ». 1ère mauvaise nouvelle de l’année. Europe assistance, superbe organisation, m’a alors rapatrié, avec le plein d’angoisse, à Lyon.

Je suis arrivé, deux jours plus tard, à minuit, à l’hôpital Lyon Sud. Les infirmières m’attendaient. Je vous laisse imaginer dans quel état moral je pouvais être…

J’ai été immédiatement pris en charge par les services du Professeur Jean-louis Caillot qui a décidé de m’opérer le 22 janvier 2009.

Ah cette opération… Un vrai calvaire. Cela a duré 6 heures. Le chirurgien a pratiqué l’ablation de la tête du pancréas, de la vésicule, de la moitié de l’estomac, du duodénum, du chollédoque… Et pendant ce temps certains petits cons écrivaient sur des forums tenus par d’autres petits cons, que je léchais le cul des patrons du FN et de Marine Le Pen pour avoir une bonne place au sein du Front.. Je ne souhaite jamais à ces abrutis de connaître l’état dans lequel j’étais, même si c’est la seule façon de se rendre compte que quand on subit ce que je subis depuis 18 mois, la seule préoccupation que l’on ait ne soit pas de « récupérer » un poste mais de survivre !
Après l’intervention je suis resté 15 jours allongé sur mon lit d’hôpital avec sondes, perfusions, et tuyaux branchés. Douze jours allongé sur le dos sans pouvoir bouger. Malgré la morphine, l’enfer venait de commencer.
J’ai alors entamé une chimiothérapie. Toutes les semaines. C’est infect. Nausées, vomissements, courbatures, fatigue intense, maux de tête, tels étaient les quelques effets secondaires parmi d’autres que cela me provoquait à chaque fois.

Et en juin je passais mon premier contrôle scanner. J’avais raison d’angoisser car la deuxième mauvaise nouvelle de l’année venait de me tomber dessus. Si je n’avais plus rien au pancréas, mon foie était désormais atteint par des métastases. Et pendant ce temps, les mêmes petits cons continuaient toujours de m’insulter sur les mêmes forums ou sites tenus par d’autres petits cons… Parce que la cellule riposte du FN que j’avais créée et que je dirigeais leur entrait dans la gueule avec de plus en plus d’efficacité !

La cancérologue qui me suivait m’avait alors conseillé d’aller « hurler ma colère » sur le parking de l’hôpital car, d’après elle, il n’y avait plus d’espoir pour moi.

C’est que je fis en sortant de l’hôpital en serrant très fort la main de mon adorable épouse. Les passants avaient du me prendre alors pour un fou. Tant pis.
En septembre, d’autres tumeurs. En janvier elles étaient devenues volumineuses et là, en mai, elles sont énormes.

Les chimiothérapies que je n’ai jamais cessé de faire depuis n’ont donné aucun résultat. Tout ça, toutes ces souffrances pour rien ! C’est injuste.
La peur et la douleur se sont désormais installées en moi. Je souffre physiquement et de plus en plus intensément. Je n’en peux plus. Parfois je tente de donner le change mais autour de moi, plus personne n’est dupe. Chaque jour me voit maigrir, mes forces s’en sont allées et le moral n’y est plus.

Et pourtant je me suis tant battu. Pendant des mois, pour continuer à militer à ma façon, j’écrivais sur NPI et sur NPMag. Je me suis même payé le luxe de faire campagne pour les régionales. Fallait voir a tête des adversaires et des journalistes quand ils me voyaient arriver sur le plateau avec la pompe à chimio branchée sur ma poitrine et accrochée autour de ma taille. Et puis j’ai été ré élu. Cela m’avait requinqué cette bataille. Comme me requinquaient toutes les conneries que je pouvais lire sur moi ça ou là. Combien de fois m’est-il arrivé d’éclater de rire en lisant les abrutis de service parler de moi et me prêter des intentions que l’on peut avoir, peut-être, que lorsque l’on a la forme. Je me disais : si seulement ils savaient ces pauvres fous. Moi je m’épuisais physiquement. Eux me faisaient grand manitou du FN. Trop drôle les cons quand même quand ils s’y mettent.

Et puis le 27 mai dernier je suis allé de nouveau à Lyon Sud pour rencontrer un professeur qui s’est fait une certaine réputation en mettant au point une formule de destruction de cellules cancéreuses par le froid. Nouvel espoir. Il m’a examiné, mais lorsque j’ai vu sa tête j’ai compris. Cela a été mon troisième choc. Ma troisième mauvaise nouvelle. Il m’a aussitôt confirmé que je ne pouvais pas bénéficier de cette technique. Et d’aucune autre d’ailleurs. Ni opération, ni greffe. Il m’a juste indiqué que je devrais essayer de voir s’il n’y avait pas des essais en cours auxquels je pourrais participer. Que ce serait une sorte de dernière chance. Et quand je lui ai demandé si j’étais foutu, il m’a juste répondu que mon cas était très préoccupant.

Voilà. C’est donc fait, il n’y a plus rien à faire. Et c’est pour cela qu’il fallait que je vous dise maintenant ce qui m’arrive.

Et puis je le vois bien. Je maigris de jour en jour et les douleurs augmentent jusqu’à être devenues presque insupportables. C’est donc la fin. Je ne vais donc plus pouvoir militer, écrire, défendre mes amis du Front, piquer des colères.

Jean-Marie Le Pen, qui m’appelle toutes les semaines pour prendre de mes nouvelles, m’a demandé samedi de « tenir bon la barre », de « m’accrocher à la rampe ». J’ai essayé, j’ai tenu, je me suis battu comme un fou, mais là je vais décevoir mon Président, je n’y arrive plus.

Pas une semaine ne s’est passée non plus sans que Marine Le Pen ne m’ait envoyé des mots d’encouragements, des bises téléphonées et sans que Bruno Gollnisch ne prie pour moi. Ils vont tellement me manquer. Mais celui que va le plus me manquer c’est incontestablement Louis. Mon ami Louis Aliot. Pas un jour depuis le départ de ma maladie ne s’est passé sans qu’il ne prenne de mes nouvelles, sans qu’il ne m’encourage, qu’il ne me soutienne. Louis est devenu pour moi comme un petit frère qui veille sur son grand frère malade. Il est le dernier ami que Dieu m’ait permis d’avoir et il est celui dont les conversations vont le plus me manquer. C’est quelqu’un de bien Louis . De très bien. C’est mon frère.

Et puis je ne verrais plus Dominique Martin. Dom avec qui pendant plus d’un quart de siècle j’ai milité. Qui ma vu rire, me battre, déconner, danser, gueuler. C’est sans doute celui qui me connat le plus. Et puis Bernard. Mon ami Bernard qui tous les jours passe me voir pour satisfaire le moindre de mes désirs. La pelouse à tondre, me conduire au PMU voir mes copains, m’emmener chez France 3 à Grenoble, ou au Conseil régional. Bernard s’occupe de tout ça pour moi. C’est un saint.
Voilà, ce que je voulais vous dire. Que je ne pourrais plus participer comme je le faisais à NPI ou à NP Mag. Je voulais vous dire aussi que je vous ai aimés, même vous les cons. Que ma famille et mon pays ont été les choses qui ont le plus comptées pour moi. Mais aussi que je n’arrive pas à me faire à l’idée de ne pas participer à la bataille finale. Celle qui donnera la victoire au Front national. Je l’aurais pourtant, en tout cas me semble-t-il, un peu mérité. Ca ça m’énerve profondément. Comme cela m’énerve de ne pas être là pour lire les mémoires de JMLP quand elles seront publiées, de ne pas participer au Congrès en janvier, de ne pas voir grandir ma petite fille Jade, de laisser mon épouse se débrouiller désormais toute seule pour tout affronter, et aussi de ne plus revoir Alexandra ma fille et Anthony mon garçon. Ca c’est dur.

Mais, dans mon malheur, j’ai quand même de la chance, j’ai encore toute ma tête et je peux vous dire tout ce que je vous ai dis.

Et puis je peux aussi vous dire Adieu.
Alors, Adieu camarades !

http://fr.metapedia.org/wiki/Jacques_Vassieux    

Atteint d'un cancer du pancréas diagnostiqué en janvier 2009, il s'éteint le 22 septembre 2010 à l'âge de 59 ans.


Jean Bernard DELRIO est né à Bône, en Algérie, en 1945. Fils d'un ouvrier tailleur d'origine espagnole et d'une mère d'origine italienne, il quitta l'Algérie en 1962, lors du grand exode. Il fit, malgré de grandes difficultés matérielles, de brillantes études juridiques et devint avocat international.

En 1996, il fut nommé Vice-Président d'une Organisation Non-Gouvernementale, siègeant au Conseil Economique et Social des Nations Unies (O.N.U.). Il est également Ambassadeur en Floride de la République de Montmartre.

En 2002, il fut lauréat de l'Académie Littéraire et Poétique de Provence. En 2003, il obtint le Grand Prix de la poésie pré-classique de la Société des Poètes Français fondée en 1902 par Sully Prudhomme et José-Maria de Hérédia. En outre, depuis le 10 juin 2003, Jean Bernard DELRIO est également Lauréat du Grand Concours Littéraire du Monde Francophone.

Une autre photo
http://aalech.free.fr/jbdelrio/index_fra.html

 

Née le 24 décembre 1948 (joli cadeau de Noël !) à Bône, en Algérie, Edwige Sfenek – c’est son nom de baptême – présente une ascendance très bigarrée typique du cosmopolitisme des familles pied-noirs : son père était Anglo-Tchèque et sa mère Italo-Espagnole. Sa famille étant rapatriée en France, Edwige grandit à Nice, où elle dit avoir souffert du racisme anti-pied-noir. Précocement déracinée, elle ne se sentira jamais chez elle en France métropolitaine, signe annonciateur de son futur exil italien… Les charmes de la jeune Edwige lui valent assez rapidement une carrière de reine de beauté. Après être devenue à 16 ans « Miss Mannequin Côte d’Azur », elle obtient le titre de « Lady Europe » et devient mannequin. Le cinéma n’est pas loin, et notre amie débute discrètement en 1966 dans une comédie française, « Toutes folles de lui », où elle joue les utilités.

http://www.nanarland.com/acteurs/Main.php?id_acteur=edwigefenech

 

 

 

Études :
diplôme . Architecte DPLG (1977)
études scientifiques
Bac A et Bac C avec mentions
Langue Français, anglais, espagnol.
Né le 27 août 1952 à Bône ( Algérie ).

http://www.setboun.com/biographie.htm

 

André Taïb


Né le 8 juin 1942 dans la ville de Bône en Algérie, André Taïb découvre le violon et la mandoline par l'intermédiaire de son père.
8 ans, il débute la mandoline. Mais très vite, s'oriente vers le bugle.
10 ans, son père découvre un film ou le trompettiste souffre de problèmes pulmonaires. Il refuse la pratique de cet instrument à son fils. Ce sera donc en cachette avec l'accord de sa mère, que André prend des cours de trompette.
Ces références musicales lui permettent d'apprécier Duke Ellington, Ray Ventura et les musiques typiques de Eddy Warner ou Perez Prado. L'un de ses 1er souvenirs de scène s'associe à l'orchestre de Marcel Ayella (accompagnateur de Enrico Macias) à l'occasion d'un récital de Fernand Sardou.
1957, M &Mme Taïb et leurs 4 enfants arrivent en France. Le père Bijoutier, s'installe dans la région lyonnaise. André fait une formation similaire.
15 ans, il entre au Conservatoire de Lyon et rencontre Jean-Pierre Burtin (Chef d'orchestre du Châtelet) en classe de trombone. Ses premiers Professeurs sont M. Arletti ou Georges Perret (2ème Trompette du Philharmonique de Boston).
5 années de Conservatoire seront validées par un 1er Prix.
Lyon est aussi l'époque des premières rencontres musicales dont la découverte du magasin de musique Fontana, le lieu de rendez-vous des musiciens de la région.
1958, c'est comme spectateur qu'il découvre le Palais d'Hiver de Lyon et des musiciens tel que Perez Prado et Mario Melfi mais aussi les orchestres de Claude Besset, Camille Sauvage, Aimé Barelli, Pierre Brun (ex. flûtiste de Jacques Hélian), Tomas et les Merrys Boys (déjà présent dans les années 30 et qu'on découvre dans le film le Gendarme de St Tropez), l'orchestre belge Eddy De Lattes et bien sûr Maurice de Thou. Des orchestres à faire danser avec une ambiance de scène et des musiciens d'une grande classe…
Dans cette même période, il fait ses premières expériences sur scène avec les orchestres de Jacques Clarence ou Gilbert Janin (créateur en 1984 de la marque Orca de baguette pour batterie).
1961/1963, le service militaire lui permet d'entrer dans la musique militaire. Il en découle des rencontres importantes dont celle avec Daniel Berrard (aujourd'hui clavier et accordéoniste de l'orchestre Cyrille Berrard) et André Corbellani (le clavier du groupe les Sphynx, un groupe des années 62, décédé en 2003).

Fin 1963, L'aventure commence avec Daniel Berrard…

Remportant la Coupe de France d'accordéon Daniel est sélectionné pour le Championnat du Monde à Pragues en Thécoslovaquie ou il se classe 4ème. Daniel Berrard créé sa propre formation de 7 éléments, une bande de copains ou se retrouvent André Taïb mais aussi Yves Paccalin à la batterie, Paul Gerbet au sax, Jean-Louis Billoud (Hot Jazz Lyon), André Corbellani aux claviers, le batteur Bernard Rizzuto (André Verchuren), Bob Moiroud au chant dont le nom de scène était 'Bob Kern'.
Une aventure qui conduit l'orchestre à de nombreuses seconde partie au sein du Palais d'Hiver de Lyon dont Johnny Hallyday, Charles Aznavour, Gilbert Becaud, Adamo, Eddy Mitchell… Souvenirs pour André dont cette seconde partie de Jacques Brel, mais aussi les ports d'Alger et d'Ajaccio avec Théo Sarapo….
1965, André découvre dans une boîte lyonnaise le 'White Side' un jeune chanteur : Jacky Kirsten. Il naîtra quelques années plus tard une longue collaboration entre les 2 hommes toujours d'actualité en 2006.


1967 - 1980 : Les années Maurice De Thou


1967, André Taïb est contacté en juillet puis repéré en août par Maurice de Thou au cours d'une prestation. Avec Daniel Berrard, André Corbellani et Bernard Rizzuto, il rejoint alors l'orchestre de Maurice Toupet (de son vrai nom).
Octobre 1967, 1er bal pour André avec l'orchestre Maurice de Thou à Roanne puis le lendemain pour en matinée-soirée en Bretagne… Tout va très vite, les prestations s'enchaînent jusqu'au concert de musique sacrée dans les églises.
1968, Jacky Kirsten intègre l'orchestre.
1969, André devient 1er trompette et s'occupe avec Joël de Thou (le fils de Maurice et arrangeur musical) de la direction de scène. Début de la création des sketchs dont celui de la 'baignoire', des adaptations de 'Mme La Marquis'e, 'Kalinka', 'les Moines de St Bernardin' et qui donnent une vraie vie de scène.
1974, L'orchestre Maurice De Thou remporte la Coupe de France des Orchestres de Bal, en finale devant l'orchestre Paul Malburet, une coupe qui sera remise par Ray Ventura. J'ai en mémoire le souvenir du merveilleux Strabban ou figurer sur l'auvant du camion le titre de vainqueur de la Coupe de France !
Restons dans le domaine des camions pour signaler au passage qu'il s'agissait du premier orchestre à avoir des couchettes dans le véhicule…
1975, Période discographique important pour l'orchestre Maurice de Thou, l'occasion de retrouver au chant Gisella Ferrari et même occasionnellement Kako Bessot (Hallyday, Mitchell, Gilles Pellegrini) sur les enregistrements.
1978, Suite à des procédures sur l'initiative des imprésarios et des agences, dissolution du G.O.R.S (Groupement des orchestres Sélectionnés) dont André Taïb était représentant et Maurice de Thou, le Président. Dans ce groupement figurait des orchestres telles que Gabriel Murat, Sentimental Trumpet, Jo Sony, Pol Malburet…
Mars 1980, dernier gala pour André Taïb à Villeurbanne dans l'orchestre de Maurice de Thou. L'orchestre de Maurice cessera son activité en décembre 1983.

L'époque Maurice de Thou correspond aussi à de belles rencontres musicales dont celle avec :
- Bruno Bompard (batteur entre 67 et 74) et que l'on retrouve plus tard avec Sacha Distel, Dave ou Jérôme Savary…
- Léonard Raponi (bassiste en 73/74) et qui après Richard Clayderman deviendra le chef d'orchestre de Gilbert Becaud et arrangeur en 2005 du dernier album en 2005 'Fuite'…
- Christian Martinez (trompettiste en 79) et que l'on retrouve ensuite partout ! Du moulin Rouge à Taratata en passant par Claude Bolling ou Dany Brillant, Sinclair sans oublier Aznavour, Goldman, Diana Ross, Gil Evans, Barry White et tous les Live TV…
- Denis Carterre en 73 comme trompette (Haricots Rouges et depuis 1993 tromboniste avec le Caroline Jazz Band).


1980, La naissance de l'orchestre Taïb Trumpet


Juillet 80, André travaille un mois avec l'orchestre de Mario Cavallero et Lily Montes…
Septembre 1980, 1ère répétition de l'orchestre Taïb Trumpet.
1981, 1ère prestation dans une soirée privée pour le rugby club de Ecully (69) puis 1er bal public à La Peyrade (34).
Dans la composition de l'orchestre se retrouvent des éléments de Maurice de Thou dont les chanteurs Mike Durham et Jacky Kirsten mais aussi Henry Georges revenus dans le bal et aujourd'hui décédé. Ce joint à cette première équipe, Jean-Louis Almosnino (ex guitariste des Sphinx), le batteur Tony Mayorgas, Dominique Chaffangeon ou bien encore le bassiste Tony De Biase et Maxime Florian (chant/sax) qui restera plus de 18 ans dans la formation et ce jusqu'en 1998.
La Direction musicale est assurée par Daniel Berrard.
1982, Seconde saison. De mi-juin au 15 septembre l'orchestre totalise déjà 63 soirées de mi juin à mi-septembre.
1983, 1er album 'Interdanse jo dona' enregistré au studio de la Mélusine, un album de 11 titres produit par Jean-loup Giaccardo et France Inter. André peut compter sur le soutien de Maurice de Thou.
1985, enregistrement d'un album sur des arrangements de Daniel Jeannin (Daniel Janin pour la signature musicale et qui en Gironde et bien qu'à la retraite poursuit avec passion l'écriture des arrangements pour des big bands).
La 1ère face se veut jazzy, la seconde est consacrée aux musiques typiques dont Tito Puentes.
1988, Signature d'un contrat pour 5 ans avec Warner. Il en découlera l'enregistrement et l'interprétation par André de la 1ère musique originale du feuilleton 'Santa Barbara'.
1994, Plateau TV avec Pascal Sevran en présence de Kimberly Covington et Rodolfo Pacheco (Gipsy Kings, Tito Puentes...)
2000, Remise de la médaille de la ville de Maugio par le Comité, une ville qui accueillera l'orchestre André Taïb de 1970 à 2001.
André est également citoyen d'honneur de Carcassonne, Berre l'Etang, Velleron, etc…
2001, Diffusion dans une émission de France 3 d'un reportage consacré aux coulisses de l'orchestre (Pas de vacances pour l'orchestre).

De très nombreux artistes se sont succédés dans l'orchestre depuis 1980 dont :

- Au trombone Michel Chalot (Art Mengo, Big Band Brass), Bernard Crozier, Thierry Durel (Dany Brillant, Kassav) ou Jean-Louis Daman (trombone et ex De Thou, Michel Leeb)…
- A la batterie, Christian Camandone (ex de thou) et Taïb entre 82 et 98 ou Laurent Falso.
- A la guitare, Libert Flores (guitariste) de 83 à 85, Jean de Antoni de 85 à 88 (Groupe Magma), Gabriel Carillo guitariste (La Compagnie Française du Soleil)…
- Mais aussi Daniel (chant) et Norbert (guitare et chant ) Pastor les frères du chanteur Thierry Pastor.
- Rodolfo Pacheco en 1992 (percussionniste des Gipsy King , Tito Puentes).
- Hervé Cosentino en 1994 (André Cyriel et ex clavier de André Rian, André Auzias).
- Le bassiste Philippe Buriet.
- Akim Ziegler au chant (Eric Martin).
- Vincent Pochy au sax que André juge très professionnel (De Raymond Echeverria, Gilles Pellegrini à Julio Igliesas).

Sans oublier de beau plateau chant avec :

- Frédérique Brun, la 1ère chanteuse de l'orchestre.
- Patricia Alliel (qui se produira ensuite sous le nom de Nelson en collaboration avec André Manoukian dont ce CD en 1996 'Pour toi' et cette collaboration avec Gino Vanelli.)
- Laurence Laken de 1992 à 2000
- Marielle Leoni (ex André Cyriel, Gilbert Montagné)
- Nancy Holloway en 1987, connu pour ses succès avec les chansons Derniers baiser et T'en vas pas comme ça (version française de Don't Make Me Over).
- Eva Suissa que l'on retrouve dans le feuilleton 'Plus belle la vie'.
- Et bien sûr depuis 1992 Kimberly Covington. Née dans le New-Jersey, fille d'une chanteuse de Gospel et d'un père Ministre, elle débute dès l'âge de 5 ans dans les églises et intègre à 16 ans le groupe 'Différent Class' enchaînant les tournées aux USA, en Asie, à Hawaii, les concerts avec Chaka Khan ou Billy Paul et Gloria Gaynor… Arrivée à Paris, Kimberly édite plusieurs disques et se produit actuellement en plus de l'orchestre André Taïb, notamment en Italie, s'appuyant sur des collaboration avec de grands musiciens dont Nicolas de Angelis à la guitare. Kimberly, une grande Dame.

 

 

Aujourd'hui André Taïb poursuit son parcours se consacrant essentiellement aux soirées privées, mariages, casino (Cabourg, Divone, le Lyon Vert), les grands Hôtels dont le Carlton ou l'hôtel Claridge en Grande-Bretagne sachant s'entourer de musiciens compétents (Sonia Perruzo, Manuel Justo, Didier Farrugia, Yvon Chery, Pierre Clairet, Nicolas Couturier, Rudy) et de belles voix comme celle de Nicolle Garziglia, Sébastien Penel, Eric, Dany Kakon, Kimberly Covington, Jacky Kirsten le tout sonorisé par un grand Monsieur, Claude Millau.


En conclusion…


Une telle carrière passe par de belles rencontres comme en 1972 ce repas avec Bernard Soustrot et Maurice André.
Des prestations qui restent gravées comme celle en 1982 à Royat en présence de Valéry Giscard D'Estaing, en 1983 au Château de Versailles en présence de François Mitterand, sans oublier toutes les soireés depuis 15 années cette collaboration avec Paul Bocusse à l'Abbaye de Collonges ou les soirées privées comme celle en présence de Youri et Jean Djorkaeff ou Grégory Coupet.

Pour André Taïb la conception d'un spectacle et de l'orchestre s'articule autour d'un concept visuel et d'une musique vivante et en directe. Et puis il y a les Hommes, avec les idées, les valeurs et les compétences humaines.
Reste un regret, pour André, celui qu'aujourd'hui le mandataire devient téléphoniste et non intrumentaliste

 

c'est avec tristesse que j'apprends le décès du lieutenant-colonel Armand Bénésis de Rotrou, second du commando Georges

Issu d'une famille catholique de miltaires originaire de l'Aude, le lieutenant-colonel Armand Bénésis de Rotrou est né en 1932 à Bône en Algérie, dans le Constantinois, où son père sert comme capitaine au 3e régiment de tirailleurs algériens.
A partir de 1938, il passe son enfance dans le centre et l'est de la France, au gré des mutations de son père, de la guerre et de l'Occupation, puis poursuit des études secondaires avec l'idée de devenir soldat.
A la suite d’une défaillance auditive remontant à l’enfance qui l’empêchera d’intégrer une école militaire, il devient officier de réserve et est volontaire pour combattre en Algérie, avec un double objectif : servir son pays et, suivant l’exemple familial, devenir officier d’active. Aspirant, il arrive en Algérie en avril 1956 et commande une section de combat, puis une unité de harkis.
Sous-lieutenant à la fin de la même année, il est nommé lieutenant fin 1958. En août 1959, désigné sur sa demande officier adjoint au commando musulman de Saïda, le prestigieux commando « Georges » créé par le colonel Bigeard, le lieutenant « Armand » (son nom de guerre à Saïda) y reste plus de deux ans au bout desquels, en raison de sa participation sur ordre de son supérieur à l’O.A.S., il est, pour échapper à l’arrestation, muté précipitamment dans le Constantinois, à la tête d’une compagnie de combat isolée et d’une unité de harkis qu’il sauvera du massacre en contrevenant aux ordres reçus.
Après l’indépendance de l’Algérie (2 juillet 1962), il rejoint l’école d’application de l’infanterie de Saint-Maixent (Deux-Sèvres), où il entre major de sa promotion et est activé en octobre 1962.
Il sert dans l’infanterie en Algérie et en France jusqu’en juillet 1966 puis, volontaire pour servir à la Légion étrangère, il rejoint le 2e régiment étranger d’infanterie stationné au Sahara.
Au début de 1968, et pour cinq ans et demi, il est muté au prestigieux 2e régiment étranger de parachutistes avec lequel il participe à la campagne du Tchad pendant laquelle il est, en juillet 1969, nommé capitaine. De 1973 à 1979, il sert successivement au 1er régiment étranger à Aubagne et au 3e régiment étranger d’infanterie en Guyane. Il est chef de bataillon depuis juillet 1977. Début 1979, étant astreint à effectuer un « temps d’état-major », il quitte à regret la Légion étrangère pour servir, jusqu’en 1983, à la 5e division blindée en Allemagne. Il est nommé lieutenant-colonel en juillet 1983.
La même année, il quitte l’armée sur sa demande et poursuit une deuxième carrière civile à l’étranger.
Parachutiste depuis mai 1954, deux fois blessé, le lieutenant-colonel Bénésis de Rotrou est titulaire de six citations. Le trente avril 2005 lors de la célébration du combat de Camerone, sur la voie sacrée de la maison mère de la Légion étrangère à Aubagne, devant le front des troupes et des milliers de sympathisants, il est décoré de la croix de commandeur de la Légion d’honneur, juste témoignage de la nation envers cet officier ayant consacré sa vie à l’armée de la France.
Retiré dans le Midi, le lieutenant-colonel Bénésis de Rotrou participe à la vie de nombreuses associations. Auteur du livre Commando "Georges" et l'Algérie d'après qui a obtenu les prix "Armée et défense" 2009 de l'U.N.O.R. et "Histoire militaire" 2010 du Cercle algérianiste, il est cité par les médias, publie des articles, tient des conférences.

neabône




dJacques Veneruso
À propos deJacques Veneruso
Musicien/groupe
 
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Jacques Veneruso

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Photo: Jacques Veneruso lors des Virades de l'espoir 2007 à Brue Auriac

Informations générales
Naissance    Bône, (Algérie)
Activité principale    Musicien, auteur-compositeur, réalisateur
En groupe
1988 : Canada Sur les traces - (disque en groupe avec Gildas & Gwenn Arzel et Erick Benzi)
2003 : Céline Dion 1 fille & 4 types - (disque en groupe avec Céline Dion, Gildas Arzel, Erick Benzi et Jean-Jacques Goldman)
Participations extérieures
1998 : Florent Pagny En concert - duo sur le titre Merci
2002 : Patrick Fiori Patrick Fiori - duo sur le titre Marseille
2002 : Solidarité inondations - trio sur le titre Marseille avec Patrick Fiori et Jean-Jacques Goldman
2003 : Les enfants de la terre - interprétation des titres Aux enfants de la terre (avec 27 artistes) et J'ai dix ans (avec Yannick Noah, Louis Chédid, Michael Jones)
Récompenses
2002 : Victoires de la musique de la chanson originale de l'année pour Sous le vent
2002 : Prix Vincent Scotto (Sacem) pour Je n'attendais que vous
2013 : Prix de l'Unac pour Parler à mon père
Collaborations[modifier | modifier le code]

Auteur/Compositeur[modifier | modifier le code]
L'ensemble des chansons indiqués ci-dessous sont signés en tant qu'(co)auteur et/ou (co)compositeur par Jacques Veneruso. Afin de faciliter la lecture, chaque item contient l'année, le titre et le premier interprète. Si reprise ou adaptation il y a, il est inscrit à la suite sur la même ligne.

Années 1985-1990
1987 : Mourir les sirènes (Canada)
Années 1990-1994
1991 : In the twilight (Gildas Arzel)
1993 : Comme un ami (Fanny)
1994 : J'irai quand même (Florent Pagny)
1994 : Les hommes qui doutent (Florent Pagny)
1994 : Seine et Saint-Laurent (Roch Voisine)
Années 1995-1999
1995 : Lorada (Johnny Hallyday)
1995 : Chercher les anges (Johnny Hallyday)
1995 : Tout feu, toute femme (Johnny Hallyday)
1996 : Reachin' (Carole Fredericks)
1996 : Let him be blues (Carole Fredericks)
1996 : You had it comin' (Carole Fredericks)
1996 : C'est pour vous' (Nanette Workman)
1996 : B.L.U.E.S' (Nanette Workman)
1996 : Sauve-moi' (Nanette Workman / Gildas Arzel)
1996 : Jesse' (Nanette Workman)
1997 : La route est longue (Michael Jones)
1997 : Le temps fait mentir (Michael Jones)
1997 : Always (Anggun)
1997 : De soleils et d'ombres (Anggun)
1997 : Pluies (Anggun)
1997 : A la plume de tes doigts (Anggun)
1997 : Sierra cuadrada (Florent Pagny)
1997 : Loin de toi (Florent Pagny) - repris par Jean Sébastien Lavoie en 2004
1998 : Dix secondes autour du monde (Florent Pagny) - titre qui aurait dû être sur l'album-compilation Bienvenue chez moi (Florent Pagny) en 1995
1998 : Géant à genoux (Mario Pelchat)
1999 : Personne ne saurait (Carole Fredericks et Poetic Lovers)
1999 : Avant vous (Roch Voisine)
1999 : Qu'est-ce qui t'amène (Carole Fredericks)
1999 : Le prix à payer (Carole Fredericks)
1999 : Vain / Veille' (Carole Fredericks)
Années 2000-2004
2000 : Les lionnes (Yannick Noah)
2000 : Entre ta peau et la mienne (Yannick Noah)
2000 : Je n'attendais que vous (Garou)
2000 : Sous le vent (Céline Dion et Garou)
2000 : Corps étranger (Leyla Doriane) - repris par Ishtar la même année.
2000 : Si tout est écrit (Leyla Doriane)
2000 : Rien n'est vraiment fini (Leyla Doriane) - repris par Céline Dion en 2003.
2000 : Et qu'un ange passe (Ishtar)
2000 : Mille et une nuits (Ishtar)
2000 : Yalla (Ishtar)
2000 : Je n'oublie rien (Ishtar)
2000 : Le temps joue contre nous (Florent Pagny)
2000 : Quelques mots (Florent Pagny)
2001 : Couleurs de ton âme (Faudel)
2001 : Tu es toujours là (Tina Arena)
2002 : La vie fait ce qu'elle veut (Julie Zenatti)
2002 : Mon pays (Patrick Fiori)
2002 : Miraval (Patrick Fiori)
2002 : Marseille (Patrick Fiori / Jacques Veneruso)
2002 : Signe des temps (France d'Amour)
2002 : Si les grands froids (France d'Amour)
2002 : Le dernier reflet (Cécilia Cara)
2002 : Les enfants perdus (Angélique Kidjo)
2002 : Un homme qui dort (Florence)
2002 : Qu'est-ce qu'on peut faire (Florence) - repris par Myriam Abel en 2005
2002 : Je te retrouve un peu (Tina Arena et Jay)
2002 : Symphonie de l'âme (Tina Arena) - adaptation par Jacques Veneruso
2002 : Tu sauras me trouver (chaque fois que tu voudras) (Daniele Stefani) - adaptation par Jacques Veneruso
2003 : Aux enfants de la terre (Tina Arena, Assia, Jean-Louis Aubert, Dany Brillant, Patrick Bruel, Louis Chédid, Annie Cordy, Billy Crawford, Hervé Christiani, Michel Delpech, Manu Dibango, Patrick Fiori, Jean-Jacques Goldman, Jay, Michaël Jones, Yvonne Jones, Enrico Macias, Mimie Mathy, Moise, Yannick Noah, McSolaar, Jacques Veneruso, Julie Zenatti)
2003 : Passe ta route (Garou)
2003 : Reviens (Garou)
2003 : Prière indienne (Garou)
2003 : Ose (Yannick Noah)
2003 : Mon Eldorado (du soleil) (Yannick Noah)
2003 : Tout l'or des hommes (Céline Dion)
2003 : Le vol d'un ange (Céline Dion)
2003 : Contre nature (Céline Dion)
2004 : Ce qui nous manque de toi (Lââm)
2004 : Un dernier blues pour toi (Michael Jones)
2004 : Non merci (Michel Sardou)
2004 : Les hommes du vent (Michel Sardou)
2004 : Je sais que tu es là pour moi (Jean Sébastien Lavoie)
Années 2005-2009
2005 : Aujourd'hui comme hier (Myriam Abel)
2005 : Changer (Tina Arena)
2005 : Je ne vous oublie pas (Céline Dion)
2005 : Tous les secrets (Céline Dion) - adaptation par Jacques Veneruso
2005 : Chante (Marilou)
2005 : Tu es comme ça (Garou / Marilou)
2005 : Pas d'âge pour rêver (Marilou)
2006 : Le temps nous aime (Garou)
2006 : Je suis debout (Garou)
2006 : Viens me chercher (Garou)
2006 : Quand je manque de toi (Garou)
2006 : Je suis tombé (Yannick Noah)
2006 : Destination ailleurs (Yannick Noah)
2006 : Dans et sur mes bras (Yannick Noah)
2007 : Vous Madame (Johnny Hallyday)
2007 : Allons danser (Michel Sardou)
2007 : Valentine day (Michel Sardou)
2007 : Les jours avec, les jours sans (Michel Sardou)
2007 : Les yeux de mon père (Michel Sardou)
2007 : Immensité (Céline Dion)
2007 : À cause (Céline Dion)
2007 : Je cherche l'ombre (Céline Dion)
2007 : Le temps qui compte (Céline Dion)
2008 : Ton histoire (Isabelle Boulay)
2008 : Je ne t'en veux pas (Isabelle Boulay)
Années 2010-2014
2010 : Hello (Yannick Noah / Asa)
2010 : La Señorita (Yannick Noah)
2010 : Ma pomme (Yannick Noah)
2010 : J'avais besoin d'être là (Garou)
2010 : For you (Garou)
2010 : Un nouveau monde (Garou)
2010 : Voler (Michel Sardou) et (Céline Dion)
2010 : Et puis après (Michel Sardou)
2010 : Chacun sa vérité (Michel Sardou)
2010 : Elle vit toute seule (Michel Sardou)
2010 : Une corde pour se noyer (Michel Sardou)
2010 : Soleil ou pas (Michel Sardou)
2010 : Lequel sommes-nous (Michel Sardou)
2011 : Qui peut le juger (Ginie Line - spectacle musical "Dracula - L'amour plus fort que la mort")
2012 : Parler à mon père (Céline Dion)
2012 : Celle qui m'a tout appris (Céline Dion)
2012 : Une arrière-saison (Sheila)
2012 : Comme les cinq doigts de la main (Chimène Badi) - chanson inédite pour l'émission "Le Grand Show de Céline Dion" diffusée le 24 novembre 2012 sur France 2.
2013 : Mon aventure (Michael Miro)
2013 : Luis (Vincent Niclo)
2013 : Ça vient de là-haut (Yoann Freget)
2013 : Keep on rollin' (Michael Jones et Francis Cabrel)
2014 : Madame (Tony Carreira)
2014 : Petit ange (Baptiste Giabiconi)
2014 : C'est ta route (Baptiste Giabiconi)
2014 : Nos jours meilleurs (Baptiste Giabiconi)
2014 : Le même sang (Yannick Noah)
2014 : Dans nos yeux (Laure Prechac)
2014 : On verra (Laure Prechac)
2014 : Tu ne sais pas (Laure Prechac)
2014 : Stress (Laure Prechac)
2014 : Je suis en retard (Laure Prechac)
2014 : Je me bats (Laure Prechac)
2014 : Il paraît qu'à Paris (Laure Prechac)
2014 : Pour la scène (Laure Prechac)
2014 : La ballade de Chet (Laure Prechac)
2014 : Du côté de Saint-Germain (Laure Prechac)
Musicien/Arrangeur/Réalisateur[modifier | modifier le code]
Afin de faciliter la lecture, chaque item contient l'année, le nom de l'album et celui de l'artiste. Si précision apporté sur le livret il y a, il est inscrit à la suite sur la même ligne.

Années 1990-1994
1992 : Le voyage du North's son (Vivien Savage) - Chœurs
1994 : Rester vrai (Florent Pagny), Guitares, chœurs
Années 1995-1999
1995 : Lorada (Johnny Hallyday) - Guitares, chœurs
1997 : Bienvenue chez moi (Florent Pagny) - Guitares, chœurs, direction musicale (sur les titres inédits)
1996 : Springfield (Carole Fredericks) - Guitares, dobro, chœurs
1996 : Une à une (Nanette Workman) - Guitares, dobro, chœurs
1997 : Au nom de la lune / Anggun (Anggun) - Guitares, chœurs
1997 : Savoir aimer (Florent Pagny) - Guitares, chœurs, direction musicale
1999 : Chaque feu (Roch Voisine) - Guitares
1999 : Couleurs et parfums (Carole Fredericks) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation
Années 2000-2004
2000 : Yannick Noah (Yannick Noah) - Guitares, chœurs
2000 : Châtelet Les Halles (Florent Pagny) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation des titres Le temps joue contre nous et Quelques mots
2000 : Ishtar, la voix d'Alabina (Ishtar) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation
2001 : Aime-moi (Eve Angeli) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation
2001 : Just me (Tina Arena) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation du titre Tu es toujours là
2001 : Vous êtes toujours là (Tina Arena et Jay) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation du titre Je te retrouve un peu
2002 : France d'Amour (France d'Amour) - Guitares sur les titres Si les grands froids et Signe des temps
2002 : Le dernier reflet (Cécilia Cara) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation du single
2002 : Dans les yeux d'un autre (Julie Zenatti) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation du titre La vie fait ce qu'elle veut
2002 : Patrick Fiori (Patrick Fiori) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation
2002 : Black Ivory Soul (Angélique Kidjo) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation du titre Les enfants perdus (il existe une autre version produite par Renaud Letang)
2003 : Reviens (Garou) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation des titres Reviens, Passe ta route, Prière indienne
2003 : Pokara (Yannick Noah) - Guitares et chœurs
2004 : Du plaisir (Michel Sardou) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation des titres Non merci et Les hommes du vent
2004 : Je me souviendrai (Jean Sébastien Lavoie) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation des titres Je sais que tu es là pour moi et Loin de toi
Années 2005-2009
2005 : Un autre univers (Tina Arena) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation du titre Changer
2005 : La fille qui chante (Marilou) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation des titres Tu es comme ça, Pas d'âge pour rêver, Chante
2006 : Garou (Garou) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation des titres Le temps nous aime, Viens me chercher, Je suis debout et Quand je manque de toi
2006 : Charango (Yannick Noah)- Guitares et chœurs,coarrangements et coréalisation.
2007 : D'elles (Céline Dion) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation sur les titres Immensité, Je cherche l'ombre, Le temps qui compte et À cause.
2008 : Nos lendemains (Isabelle Boulay) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation du titre Ton histoire
Années 2010-2014
2010 : Femme des années 2010 (Michel Sardou) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation à l'exception de certains titres
2010 :Frontières (Yannick Noah)- Guitares et chœurs,coarrangements et coréalisation.
2012 : Sans attendre (Céline Dion) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation à l'exception de certains titres
2014 : Nos fiançailles,France Portugal (Tony Carreira) - Guitares, chœurs, coarrangements, coréalisation à l'exception de certains titres
2014 : Combats ordinaires (Yannick Noah)- Guitares et chœurs,coarrangements et coréalisation.
Tournée[modifier | modifier le code]
1995-1998 : Florent Pagny
1997-2001 : Carole Fredericks
2000 : Ishtar
2002 : Patrick Fiori
2004 à ce jour : Michel Sardou
2012 à ce jour : Laure Prechac
Liens externes[modifier | modifier le code]

Site officiel de Gildas Arzel
Site officiel de Carole Fredericks



http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9l%C3%A8ne_Conway-Mouret
Hélène Conway-Mouret, née le 13 septembre 1960 à Bône (Algérie)1 est une universitaire et femme politique française, membre du Parti socialiste, élue sénatrice des Français de l'étranger le 25 septembre 2011 sur la liste « La France est notre pays, le monde est notre avenir » présentée par le PS et EELV. Elle est nommée ministre déléguée chargée des Français de l'étranger dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault II le 21 juin 20122.


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avec le webmaster du site à la prefecture d'Ajaccio
 
Doris Natali-Bravin
jeudi 26 juillet 2012, par Journal de la Corse
Une vie pour les autres

Ce 26 juillet, Doris Natali-Bravin était décorée de l’ordre national du mérite. Une distinction qui récompense la présidente de l’association « connaissance de la Corse » pour trente cinq années d’implication dans le milieu associatif. RENCONTRE avec une femme peu ordinaire… Des tas de personnes méritent beaucoup plus cette distinction que moi. Je suis récompensée pour des choses qui me font plaisir alors que d’autres s’investissent au profit de gens qui sont dans le besoin. Quand Doris Natali-Bravin évoque la distinction à laquelle elle a été élevée, ce jeudi (l’ordre national du mérite), elle s’efface, refusant les feux de la rampe. Humble, elle met, pourtant, près de quarante années passées au service des autres, de son prochain.

De Bône à Ajaccio

Son parcours, pour le moins atypique, a débuté à Bône, ville algérienne où elle naquit dans l’entre deux guerres et dont elle gardera ce parfum, trace indélébile que conservent les natifs de l’ancien département français. Il s’est poursuivi, par la suite, à Valenciennes avant qu’elle ne se laisse séduire par l’île de Beauté, il y a quarante ans. Ancienne institutrice, Doris Natali-Bravin a puisé, au gré de ses émotions, l’inspiration nécessaire pour développer l’art de la poésie. Fondatrice, en 1967, du cénacle Froissart, elle a publié dans diverses revues et obtenu maintes récompenses, telles la Rose d’Or des Trouvères (Le Touquet, 1968), le prix de la fondation Michel Ange, à Corte (1977) ou le prix de l’association internationale des Belles Lettres (Marseille, 2002). Certains de ses poèmes, réunis dans l’ouvrage « Et plus tard un Ange », vont être, prochainement édités par la librairie « La Marge ». Mais c’est la volonté d’aider les autres qui jalonnera la vie de cette bônoise d’adoption. En 1976, elle crée l’association « Connaissance de la Corse », dont la vocation est d’aider les personnes seules. « Tout est parti d’un constat simple à l’époque : les Corses ne connaissent pas leur île. On a créé l’association et l’on faisait une sortie par mois et un voyage à l’étranger par an. »

Une vocation : l’amour des autres

Le goût du voyage, deuxième fil conducteur de Doris, permettra aux adeptes de l’association de découvrir, outre les reliefs de la Corse, des pays tels que la Turquie, l’Egypte, l’Angleterre, l’Ecosse, entre autres. « Le voyage, c’est quelque chose qui est dans mes gênes, rappelle t-elle, logique de par mes origines napolitaines et vénitiennes. » L’un de ces ancêtres, Rosario Pisani, fut compagnon de Laurence d’Arabie. Ceci explique sans doute cela. Aujourd’hui, la poésie et goût du voyage se sont quelque peu estompés, « je n’ai plus d’inspiration pour écrire. Quant aux voyages, je les fais depuis la terrasse du Belvédère, d’où je regarde arriver et partir les bateaux. » L’amour des autres est, lui, resté immuable pour la présidente de « Connaissances de la Corse », par ailleurs, vice-présidente de la FALEP depuis 25 ans. Deux associations au sein desquelles elle s’implique corps et âme. Tout comme avec « Les dames du Rosaire ». « Preuve, conclut-elle, que laïcité et religion peuvent être complémentaires… »

Ph.P.

http://83130.free.fr/index.php/bha/196-doris-natali-bravin
envoye par Monsieur Ciantar 05/07/2017

GADAN ANTOINE
Peintre

Seurre (Côte-d'Or), 23 février 1854 - Bône (Algérie), 18 août 1934

Il arrive à Alger en 1881 à l'âge de vingt-sept ans. Il s’installe à Bône avec sa famille en 1886. Son frère Charles dirige les caves du domaine de Guébar et devient propriétaire de la ferme du comte de Sonis au fort Gênois, à proximité de Bône. Gadan se plaît à traiter des sujets champêtres - on le surnomme quelquefois « le Peintre des herbes ». Ses paysages dans la campagne Bônoise vont du massif de l'Edough, de la plaine de la Boujimah aux rives du Ruisseau d'Or; plus tard, il découvre le cap de Garde. Il travaille également dans les Aurès, à El-Kantara, à Beni-Férut et à Biskra. Gadan obtient un succès en 1895 au Salon des artistes français où il expose La Rivière blanc à EI-Kantara et Nuit algérienne

Habitait « dans une petite rue du Faubourg, parallèle à l’Avenue Célestin Bourgoin » à peu près derrière l’église Sainte Anne.


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